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Serpents, race de vipères! Comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne? Matthieu 23:33
COVID
19: INTERDICTION DES
REMÈDES EFFICACES
Chers
frères et
chers amis, comme nous vous l'avons dit
dans un récent enseignement intitulé "Le Mensonge Du
Covid-19
Dévoilé", Dieu est en train de susciter le courage
de plusieurs
médecins, chercheurs, et Hommes, humains et conscients, pour dénoncer
et
exposer le grand mensonge du siècle appelé Pandémie du Covid-19. Comme
vous
allez le lire ci-dessous, ces hommes et femmes honnêtes et conscients
se
battent autant qu'ils le peuvent, pour démonter et exposer ce grossier
montage
des agents de l'Enfer qui dirigent ce monde. Ils confirment tous, ce
que le
Conférencier britannique David Icke a exposé dernièrement dans un
article très
intéressant que nous avons mis à votre disposition il y a quelques mois
de
cela, et qui s'intitulait "David Icke: La
Conspiration du Covid-19".
Ceux d'entre vous qui ne l'ont pas encore lu le trouveront sur le site
www.mcreveil.org dans la rubrique Santé.
Le
texte que nous
vous proposons ci-dessous est la
transcription de la vidéo (disponible sur le site mcreveil.org) d'un
film
documentaire d’Alexandre Chavouet, intitulé "MAL-TRAITÉS:
Covid-19, Comment Les Malades Ont Été Privés de Remèdes Efficaces".
Ces Hommes professionnels et compétents, dénoncent à visage découvert,
comment
les crapules qui dirigent la France, avec la complicité de leurs
compagnons des
autres pays, ont volontairement et consciemment
combattu les
médicaments qui pouvaient guérir les malades, pour imposer aux
médecins, des
poisons qui devaient tuer les malades en grand nombre.
Ces
professionnels ayant choisi de mettre leur vie et
leur profession en danger pour exposer ce crime organisé contre
l'humanité,
sont: Dr. Jean-Jacques Erbstein: Médecin
généraliste; Pr. Didier
Raoult: Professeur de microbiologie, directeur de l'IHU de
Marseille; Pr.
Christian Perronne: Chef de service en infectiologie à
l'hôpital
universitaire Raymond-Poincaré de Garches; Dr. Éric Ménat:
Médecin
généraliste, spécialiste en nutrition et phytothérapie; Me.
Fabrice Di Vizio:
Avocat spécialisé des médecins libéraux; Dr. Éric Chabrière:
Biologiste,
responsable de la valorisation de l'IHU Méditerranée Infection; Pr.
Michael
Holick: Endocrinologue, spécialiste de la Vitamine D,
professeur de
médecine – Bodson University; Dr. Claude Lagarde:
Docteur en pharmacie,
biologiste, expert en micronutrition; Pr. Vincenzo Castronovo:
Médecine
Préventive Micro-nutritionnelle et Fonctionnelle, Université de Liège,
Belgique; Dr. Dominique Baudoux: Docteur en
pharmacie, directeur du
Collège International d'Aromathérapie; Pr. Cédric Annweiler:
Chef de
service gérontologie CHU d'Angers (Maine et Loire); Dr.
Pierre Kory:
Pneumologue, directeur d'unité de soins intensifs. Tous reconnaissent
que le
Covid-19 érigé en pandémie, est une farce.
Ce
film
documentaire confirme les autres révélations que
nous avons mises à votre disposition concernant les dérives de la
Médecine
Conventionnelle, ainsi que le plan satanique de ces reptiliens qui
dirigent ce
monde. Vous trouverez toutes ces révélations sur le site
www.mcreveil.org, dans
la Rubrique Santé.
[Début du
Documentaire]
2-
Mensonge autour de l'Hydroxychloroquine
Narrateur:
Mars 2020. Nous
sommes dans le Grand Est, en plein cœur
de la première épidémie de Covid-19. Les professionnels de la santé de
la
région vivent un véritable cauchemar. Jean-Jacques Erbstein, Médecin
généraliste et auteur du livre "Je ne pouvais pas
les laisser
mourir", a été en première ligne.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: J’ai commencé à
voir mourir des gens et nos salles d'attentes se sont transformées en
tranchées. On a vu monter en puissance l'épidémie, et on a vu mourir
nos
premiers patients. J'ai vu mourir mes premiers patients, en respectant
scrupuleusement la doxa gouvernementale, ce qui est devenu après, d'une
manière
un peu ironique et un peu cynique, la règle des 4D: Doliprane-Dodo-Domicile-Décès.
On ne peut pas commencer à laisser mourir les gens sans bouger le petit
doigt.
On est quand même des généralistes. Cela fait 25 ans que je suis
installé, et
25 ans que mes patients me font confiance. Je ne peux pas non plus leur
dire "Restez
chez vous et attendez que ça passe."
Une
après-midi,
j'ai vu une jeune patiente de 40 ans qui
avait les symptômes du Covid. Alors j'ai fait le réflexe "Restez
chez
vous, si ça ne va pas mieux, vous m'appelez…" Elle m'a chopé
sur
Messenger disant "Je ne vais pas bien." Il était
minuit. J’ai
dit "Mais qu'est-ce qui se passe?" "Ecoutez, j'ai du mal à
respirer." Je lui ai demandé de compter sa fréquence
respiratoire qui
était au-dessus de 30. Là, j’ai dit, oui ce n’est pas bon. C'est
au-dessus de
25 pour faire le 15. "Donc faites le 15 immédiatement et vous
me tenez
au courant." Donc, elle a fait le 15 et le retour du 15,
c'était "Restez
chez vous."
Je
pense qu'à ce
moment-là, les services de réanimation
étaient au bord de l'implosion. Alors j’ai dit "Restez chez
vous,
d'accord. Vous suivez les conseils. Vous m'appelez si vraiment il y a
quoi que
ce soit qui tombe mal mais je viens vous voir demain." Et le
lendemain, je suis allé la voir, je lui ai prescrit la prise en charge
théorique à laquelle on avait pensé. Il y avait quatre trucs. Il y
avait
l'Azithromycine, un anticoagulant parce qu'on commençait à savoir qu’il
y avait
des caillots qui pouvaient se former, un médicament pour l'aider à
respirer, et
puis du Zinc parce que le Zinc a des propriétés antivirales. 48 heures
après,
plus rien. Plus aucun symptôme. On se dit "Tiens, il se passe quelque
chose". J'ai dû traiter 80 patients et le constat était simple: Zéro
hospitalisation et zéro décès. Et mon ami Denis Gastaldi doit
être à plus
de 100. Enfin, on était trois généralistes, on arrivait à pas loin de
200
patients traités par Azithromycine avec des résultats qui étaient quand
même
drôlement encourageants. Et on n’a plus un décès et plus une
hospitalisation.
Narrateur:
Le Dr. Erbstein
et ses collègues décident ensemble de
publier une tribune dans l'Est Républicain, un journal régional, dans
le but de
partager leurs observations prometteuses avec le plus grand nombre.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Il y avait une
urgence, une urgence absolue. Les gens tombaient comme à Gravelotte, ça
mourait
quand même un petit peu. On s'est rendu compte qu'on avait peut-être
une
solution, pas la solution, mais une solution qui était devant nous.
Donc on
était très prudents. Et c'est là que les problèmes sont arrivés. Le
papier sort
le dimanche de Pâques. Lundi de Pâques, c'est repris par le Parisien.
Le mardi
matin 8h, coup de téléphone du Président du Conseil de l'Ordre, en
disant: "Qu'est-ce
que vous êtes en train de faire là?" Et le Président du
Conseil de
l'Ordre me dit: "Maintenant faites ce que vous voulez, mais
vous
arrêtez toute communication."
Narrateur:
Malgré les vies
sauvées, le Dr. Erbstein se retrouve
accusé par le Conseil de l'Ordre de ne pas avoir tenu compte des
consignes
gouvernementales. Le 9 juin 2020, malgré les résultats encourageants et
l'efficacité observés de son protocole à base d’Azithromycine et de
Zinc, la
DGS, Direction Générale de la Santé, écrit un courrier à tous les
médecins de
France.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Quand la DGS
interdit, déconseille les prescriptions d’Azithromycine, non seulement
les
prescripteurs comme nous, on ne comprend pas, mais ce qui est terrible,
c’est
que le grand public ne comprend pas. Parce que le grand public, qui a
été
traité par Azithromycine avec succès, dit "Mais attendez,
qu’est-ce
qu’ils nous font là?"
Narrateur:
Pourtant, cette
décision n'est rien en comparaison de ce
qui s'est passé avec l'Hydroxychloroquine, une autre molécule qui va se
retrouver au cœur de la plus grande polémique. Et pour certains, du
plus grand
scandale scientifique du 21e siècle.
Pr.
Didier Raoult: Comment
expliquer cette guerre
complètement folle, complètement délirante contre l'Hydroxychloroquine?
Narrateur:
A-t-on oui ou
non laissé mourir des gens en les privant
de solutions qui auraient pu leur sauver la vie? Ils sont nombreux dans
le
monde médical à en être convaincu. D'autant que comme vous allez le
découvrir,
plusieurs traitements naturels ont montré d'excellents résultats contre
la
Covid-19, sans jamais trouver le moindre relais dans les médias, ni le
moindre
soutien de la part des instances de santé. Pour quelles raisons et dans
l'intérêt de qui?
Pr.
Christian
Perronne: Quand il y a une
pandémie, vu du
côté de l'industrie pharmaceutique, on se dit qu'il y a toujours de
l'argent à
se faire, parce que ça peut être des milliards d'individus touchés dans
le
monde. Si l'on trouve un médicament et qu'on peut le breveter pour ça,
ça peut
faire des centaines de milliards de dollars de revenus.
Malheureusement, quand
il y a une pandémie, il y a des gens qui réfléchissent "Il
faut que je
sauve en urgence le malade", et d'autres qui pensent plutôt, "Il
faut que j’en mette plein dans mon porte-monnaie."
Narrateur:
Le Pr. Perronne
connaît parfaitement les dérives des
sociétés pharmaceutiques. Il a été Président de commission à l'Agence
du
Médicament et au sein du Haut Conseil de la Santé Publique. A
l'Organisation
Mondiale de la Santé, il a exercé le rôle de Vice-Président du groupe
d'experts
sur la politique vaccinale en Europe. Le Pr. Perronne a donc occupé les
fonctions les plus prestigieuses en infectiologie. Mais il a toujours
défendu
les malades contre la pensée unique médicale. En 2017 déjà, il montait
au
créneau pour dénoncer le scandale lié à la maladie de Lyme.
Archive
– Extrait
d'un Journal TV:
(Pr.
Perronne au
sujet de la maladie de Lyme): [Pr.
Christian Perronne:
En France
aujourd'hui, il y a des centaines de milliers
de gens en grande souffrance, qui sont rejetés par le système médical,
qui sont
paralysés. A l’échelle de l’Europe, c’est des millions. Et pendant ce
temps-là,
les autorités disent: Tout va bien. Donc c’est un vrai scandale
sanitaire.]
Narrateur:
En 2020, il
publie "Y a-t-il une erreur
qu'ILS n'ont pas commise?" pour dénoncer notamment
l'influence de
l'industrie pharmaceutique dans sa tentative de diabolisation de
l'Hydroxychloroquine commercialisée en France sous le nom de Plaquénil,
un
traitement ancien et bon marché, qui a démontré très tôt une efficacité
prometteuse contre le coronavirus.
Pr.
Christian
Perronne: C'est le plus
grand canular,
malheureusement sinistre, de la médecine. On avait plein d'études qui
montraient que ça marchait. Il y a une espèce de coalition
internationale, à la
fois de Big Pharma, des Présidents des sociétés savantes qui touchent
beaucoup
d'argent d’industries pharmaceutiques, de tout un tas de groupes
d'experts qui
était bourrés de conflits d'intérêts. Ils ont passé leur temps à taper
sur
l’Hydroxychloroquine. Et pour moi, c'est un scandale absolument énorme.
Narrateur:
L'histoire est
hélas régulièrement ponctuée par de
nombreux scandales sanitaires qui confirment que l'industrie
pharmaceutique
cherche avant tout la rentabilité financière, sans considération pour
la santé
publique, souvent avec la complicité des agences sanitaires et de leurs
experts
en conflits d'intérêts.
Le
Vioxx,
anti-inflammatoire, prescrit pour les douleurs
liées aux maladies articulaires aurait provoqué 160 000 crises
cardiaques et
attaques cérébrales et 40 000 décès rien qu'aux États-Unis. Malgré les
faits,
les autorités sanitaires maintiennent le Vioxx sur le marché, jusqu'à
son
retrait en 2004. Le Vioxx aurait rapporté à son laboratoire 12,5
milliards de
dollars.
Le
scandale du
Médiator aura lui aussi contribué à
révéler les dérives, et l'avidité de l'industrie pharmaceutique. Entre
1976 et
2010, le laboratoire Servier commercialise ce coupe-faim, dont les
effets
secondaires pourtant connus par le laboratoire ont coûté la vie à des
milliers
de patients. L'Agence du Médicament a fermé les yeux et ce scandale l’a
conduit
a changé de nom. De l'AFSSAPS, elle est devenue l’ANSM.
Lors
de
l'épidémie de grippe pN1 en 2009, la France a
dépensé plus de cent millions d'euros pour acheter du Tamiflu, un
médicament
inefficace et toxique qui avait été interdit au Japon, après avoir été
soupçonné de causer la mort d'enfants et d'adolescents.
Nouveaux
traitements, vaccins, … Pour l'industrie
pharmaceutique, le Coronavirus représente une opportunité commerciale
sans
précédent. Alors que des laboratoires comme Abbvie ou encore Gilead
tentent de
positionner leurs médicaments sur le marché du Coronavirus, un homme
veut venir
chambouler les projets commerciaux de Big Pharma. Son nom: Didier
Raoult.
Considéré dans le monde comme un des plus grands spécialistes des
maladies
infectieuses, le Pr. Didier Raoult dirige l’IHU Méditerranée Infections
à
Marseille, un pôle 100% indépendant de l'industrie pharmaceutique et au
rayonnement mondial dans le domaine des maladies infectieuses.
Au
début de
l'année 2020, le Pr. Didier Raoult et son
équipe de chercheurs épluchent les récentes données des scientifiques
chinois
qui mettent en avant l'efficacité d'un traitement à base
d'Hydroxychloroquine,
des études contestées bruyamment par certains experts français.
Pr.
Didier Raoult: Que des gens qui
n'ont jamais
traité une infection à Coronavirus aient une opinion sur les gens qui
ont 20
essais en cours, et pour lesquels les éléments étaient suffisants pour
que le
gouvernement et tous les experts chinois, et expertes chinoises,
experts qui
connaissent le Coronavirus (pas que sur le papier, c’est leur métier),
prennent
une position officielle en disant, "Maintenant il faut
traiter avec de
la Chloroquine les infections à coronavirus", c'est
déraisonnable de
dire "écoutez les chinois on s’en fiche."
Pr.
Christian
Perronne: Après, est venue
la première étude
de Didier Raoult qui avait des contacts en Chine, qui connaissait tout
ça et
qui a commencé à faire une étude, … Au début, c'était sur 24 malades,
un petit
nombre de patients. Cette étude déjà a montré qu’il se passait quelque
chose.
Car elle a été contestée, "24 malades c’est rien du tout."
Après il en a mis 80, après 1500, puis 3500, et là on a continué à dire
"mais
ce que fait Raoult, c'est n'importe quoi."
Narrateur:
Alors que le
traitement du Pr. Raoult à base
d’Hydroxychloroquine semble faire ses preuves sur les malades de la
Covid-19,
les autorités sanitaires françaises, ainsi que de nombreux experts se
montrent
étrangement réticents.
Extrait
d'un
Journal TV:
[Christian
Estrogi: Nous
avons en
France la chance d'avoir le meilleur scientifique français reconnu sur
la scène
internationale. Le plus grand chercheur. Bon, je ne dis pas, et lui non
plus ne
le dis pas; d'ailleurs vous avez procédé à son interview où il a
répondu avec beaucoup
de modestie il y a quelques jours de cela; que c'est la solution, qu'il
y a un
remède absolu à ça.]
Narrateur:
En France,
pendant que l'utilisation de
l'Hydroxychloroquine divise et suscite une controverse démesurée, à
l'étranger
beaucoup de pays l’utilise avec succès.
Pr.
Christian
Perronne: Très rapidement,
le Gouvernement
italien a parfaitement réagi. Les experts italiens aussi. Ils ont dit à
tous
les généralistes en Italie de donner de l’Hydroxychloroquine. Et on a
vu la
chute de la létalité. Au Portugal, dès le début, ils ont dit aux
médecins de
donner la Chloroquine. La létalité était très faible, inférieure à 5%.
En
Grèce, c'était magnifique, ils ont une létalité très faible mais ils
ont donné
la Chloroquine à tout le monde. Et si on sort de l'Europe, regardez le
Maroc,
c’est 2% de létalité, ils ont traité tout le monde par
Hydroxychloroquine,
Azithromycine.
Narrateur:
Et pourtant,
malgré ces données prometteuses, le
Ministre de la Santé Olivier Véran fait une annonce qui va faire
l'effet d'une
bombe auprès de tous les médecins français. Le 27 mars 2020, le
Gouvernement
interdit aux médecins de ville de prescrire l'Hydroxychloroquine.
Extrait
d'un
Journal TV:
[Olivier
Véran: Le Haut
Conseil
exclut toute prescription dans la population générale ou pour des
formes non
sévères à ce stade, en l'absence dit-il, de toutes données probantes.
Faisons
confiance à nos chercheurs.]
Pr.
Christian
Perronne: Quand
l’Hydroxychloroquine a été
interdite, j’ai été profondément choqué parce que les publications
scientifiques
montraient que ça marchait, l'expérience de tous les médecins ont
montré que ça
marchait, les médecins de ville avaient commencé à l'utiliser, ça
marchait, et
le décret a été rendu en urgence après un avis du Haut Conseil de la
Santé
Publique. J'ai été Président de la Commission des Maladies
Transmissibles. Je
sais comment ça marche. Il y a un règlement intérieur, il y a une
charte des
conflits d'intérêts, rien n'a été respecté. Il n’y a pas eu de réunion
de la
Commission, c'est un groupe d'experts où il y avait des membres du
Conseil, ou
pas, qui se sont réunis. Ça été validé par le Président sans qu'il n’y
ait
aucune réunion, aucun vote, aucune déclaration des conflits d'intérêts.
Donc,
déjà, l'avis du Haut Conseil de Santé Publique était totalement illégal
et le
Ministre s'est appuyé là-dessus pour passer un décret en urgence qui a
été un
scandale absolu en France, c’est qu’on a laissé crever les gens, on a
interdit
aux médecins généralistes qui s'étaient mobilisés pour sauver les gens,
de traiter
les gens. La France est le seul pays au monde à
avoir interdit aux
médecins l'utilisation de l’Hydroxychloroquine, ce qui était pour moi
un
scandale d'État.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Sur la forme, je
trouve ça scandaleux. On n'a pas à empêcher un médecin de prescrire un
traitement, sauf s’il y a des preuves dans un sens de nocivité. C'est
la
première fois qu'on empêche un médecin de prescrire. Mais pas n'importe
quel
médecin, des généralistes. Parce qu’à l'hôpital, tout le monde a fui
l’Hydroxychloroquine. Il n’y a que nous, les généralistes, qu'on a
complètement
muselés.
Dr.
Éric Ménat:
C'est un
scandale très grave sur le plan de notre santé
et de notre système de santé. D'abord, on a fait pire que ça. On a même
conseillé aux malades de ne pas aller voir leur médecin. Dire qu’on a
des gens
dont c'est le métier, de prendre en charge les malades tous les jours,
ça fait
pour certains 30 ans qu’ils sont médecins, et tout d’un coup, on dit à
leurs
malades: "Surtout n'allez pas voir votre médecin."
Et puis, on
nous explique qu’on a fait dix ans d'études mais qu'on n'est pas
capables de
déterminer si un patient peut ou ne peut pas, prendre de
l’Hydroxychloroquine.
Ça fait 30 ans qu'on le fait, c'est tellement invraisemblable. Et c'est
ce
contre lequel j'ai le plus lutté, c'est ce décret, qui est une ineptie
totale.
90% des médecins avec lesquels j'ai pu parler de ce sujet, ont le même
avis que
moi parce que ce sont pour la plupart des médecins généralistes, donc
ils se
sentent réellement exclus du système.
Pr.
Christian
Perronne: On n'a pas tenu
compte de l'avis
des médecins parce que les médecins généralistes, ils l'ont bien vu, au
début
ils ne donnaient pas l’Hydroxychloroquine, ils envoyaient beaucoup de
gens en
réanimation à l'hôpital, et quand ils ont commencé à prescrire, ils
n’envoyaient plus personne à l'hôpital. Ils l'ont vu! On n'a pas
respecté cette
expérience et ce souhait des malades. C'est une atteinte très grave à
l'exercice de la médecine.
Pr.
Didier Raoult: L'idée que
l'État se saisisse de
tâches qui sont du soin usuel, si vous voulez, à la place des médecins,
et leur
interdisent de faire un certain nombre de choses qui sont banales, je
ne suis
pas d'accord. Et pour le dire d’ailleurs tout à fait officiellement, je
suis
surpris que l'Ordre des Médecins ait accepté une chose pareille. Moi,
si
j'avais été Président de l'Ordre des Médecins, j'aurais démissionné
immédiatement.
Narrateur:
Pour justifier
l'interdiction de prescription de
l'Hydroxychloroquine, les autorités relayées par les médias avancent
qu'elles
pourraient être dangereuses pour les malades.
Extraits
de
Journaux TV:
[TV
C News: Parmi
les
traitements mis en cause, le Plaquénil, ce médicament à base
d'Hydroxychloroquine, qui, couplé à un antibiotique, peut augmenter le
risque
d'accident cardiaque.
TV
LCI: Attention à
la
chloroquine. C’est l’Agence du Médicament qui a donc lancé une alerte
cette
nuit.
TV
LCI: Le
médicament
qui suscite beaucoup d'espoir aujourd'hui peut être mortel. Il reste un
produit
dangereux s'il est mal utilisé.]
Pr.
Didier Raoult: Honnêtement, si
un jour on se met à
réfléchir sur l'histoire de l'Hydroxychloroquine, qui est quand même
l'histoire
la plus fantasque que j'ai entendue en médecine de ma vie, c'est un
médicament
qui existe depuis 80 ans, qui a été prescrit peut-être à un tiers de la
population du monde, qui en France est vendue à 36 millions de
pilules/an. Et
d'un coup, il y a toutes les autorités qui commencent à dire que c'est
un truc
épouvantable, criminel, que on va mourir tous d'arythmie cardiaque
parce qu'on
prend ce truc. Je n’ai jamais entendu parler d’un truc aussi fantasque
que ça,
c'est inouï.
Narrateur:
Avant la crise
du Coronavirus, l'Hydroxychloroquine ou
le Plaquénil avait une excellente réputation. Cette molécule figure en
bonne
place sur la liste des médicaments essentiels de l'Organisation
Mondiale de la
Santé. Mais c'est aussi, comme le rappelle le Pr. Raoult, un médicament
que
l'on connaît de longue date, car c'est un dérivé de la Chloroquine
utilisée
depuis les années 50, par des centaines de millions de personnes dans
le monde
en prévention du paludisme. L'Hydroxychloroquine a été donnée pendant
des
décennies aux personnes réputées fragiles, comme les femmes enceintes,
les
enfants, ou encore les personnes âgées. Ce médicament est si sûr qu'il
était en
vente libre jusqu'en janvier 2020, date à laquelle la Ministre de la
Santé,
Agnès Buzyn, a décidé de lui retirer son accessibilité sans la moindre
explication.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Il y a déjà eu
un truc qui a été curieux. C'est à la mi-janvier, quand Agnès Buzyn a
demandé
que l'Hydroxychloroquine qui était en vente libre devienne sous
prescription
médicale. Ça c'était un peu curieux…
Narrateur:
Puis, en mars
2020, l'Hydroxychloroquine est devenue un
médicament très dangereux, du jour au lendemain.
Pr.
Christian
Perronne: Alors que
l'Hydroxychloroquine a
des publications qui montrent que ça marche, que ça ne coûte pas cher,
l'Agence
du Médicament n’a pas arrêté de dire que c'était toxique, que ça
donnait des
problèmes cardiaques, alors que le problème cardiaque venait du Covid
et pas du
tout de l’Hydroxychloroquine. Maintenant c'est reconnu.
Dr.
Éric Ménat:
Je pense que
cette histoire d'effets secondaires ou de
dangerosité de l'Hydroxychloroquine est la plus belle plaisanterie
médicale et
scientifique qu'on ait inventée depuis janvier 2020, depuis le début de
cette
pandémie. J'utilise l'Hydroxychloroquine depuis 15-20 ans, et
particulièrement
depuis dix ans dans les maladies infectieuses. Je n'ai jamais eu
d'accident
mais ce n'est pas une statistique. Donc je suis allé rechercher
réellement ce
qu'on avait comme études. Et parmi les nombreuses études que j'ai pu
retrouver,
j'ai vu un travail de la HAS, la Haute Autorité de Santé de 2009, c'est
pas si
vieux, qui avait réétudié et réévalué l'Hydroxychloroquine, en tant que
médicament en vente libre. Ils ont étudié ça pendant six mois. 100 000
prescriptions, 65% de ses prescriptions ont été faites par des médecins
généralistes. Ce qui prouve bien que tout le monde en prescrivait très
largement. Et la conclusion c'est: Médicament toujours aussi efficace
et
toujours aussi peu dangereux. Et on a redonné, non seulement la AMM (autorisation
de mise sur le marché), mais aussi l'autorisation de vente
sans ordonnance,
donc vente libre, en 2009 à l’Hydroxychloroquine. Vous imaginez bien
qu’une
telle étude faite par la Haute Autorité de Santé, il n’y a pas si
longtemps,
donc avec des moyens modernes, s'il y avait eu le moindre danger de
l’Hydroxychloroquine, on l'aurait vu. Il faut savoir que
l’Hydroxychloroquine a
été prescrite pour des maladies comme le Lupus et la Polyarthrite
pendant des
années. Ce n’est pas dix jours. Là, contre le Coronavirus, il
s'agissait d'un
traitement de 10 jours. Vraiment, on s'est moqué de nous.
Narrateur:
Y a-t-il eu une
forme de complot contre la Chloroquine,
un vieux médicament générique qui ne rapporte rien à l'industrie
pharmaceutique? Ce qui s'est passé avec le scandale The Lancet
nous
donne peut-être la réponse. Le 22 mai 2020, l'Hydroxychloroquine va se
retrouver
la cible d'une étude publiée dans The Lancet, l'une
des plus
prestigieuses revues scientifiques du monde.
Extraits
de
Journaux TV:
[TV5
Monde: La revue
médicale britannique a publié une vaste étude. 15 000 malades ont reçu
quatre
combinaisons différentes à base de ces deux molécules, seules, ou
associées à
un antibiotique. Et les conclusions sont très claires.
Mandeep
Mehra: Nous avons
posé
une question: Y a-t-il un quelconque avantage à utiliser l'un de ces
traitements chez les patients hospitalisés avec un Covid-19? La réponse
est un
Non. Un Non assez concluant. Il n'y a pas une once de preuves que cela
soit le
cas.
TV
C News:
Conclusion de
l'étude, la Chloroquine et l’Hydroxychloroquine ne devraient pas être
utilisées
en dehors des essais cliniques.]
Narrateur:
Au lendemain de
la publication, des décisions immédiates
sont prises au plus haut niveau pour abattre l'Hydroxychloroquine et
torpiller
les études en cours. L’OMS suspend le traitement sous
Hydroxychloroquine dans
son vaste essai clinique international Solidarity. En France, les 16
essais
cliniques testant l'Hydroxychloroquine sont suspendus à la demande de
l'Agence
de Sécurité des Médicaments. Le Ministre de la Santé, Olivier Véran,
interdit
l'utilisation d’Hydroxychloroquine à l'hôpital, alors que son
utilisation était
déjà très restreinte. Mais toutes ces mesures prises à la va-vite
s'appuient en
réalité sur une étude frauduleuse. Le 4 juin, The Lancet
fait marche
arrière et indique dans un communiqué le retrait de son étude.
Extraits
de
Journaux TV et Extrait d'Article de Presse:
[TV
C News: La revue
The
Lancet fait volteface. Dans un communiqué publié jeudi soir, trois des
quatre
auteurs d'une récente étude sur l'Hydroxychloroquine remettent en cause
sa
validité.
Communiqué
The
Lancet: Nous ne
pouvons
plus nous porter garant de la véracité des sources des données
primaires.
TV
C News: La
prestigieuse
revue scientifique britannique a également présenté ses profondes
excuses.]
Dr.
Éric Ménat:
L'étude The
Lancet qui a fait scandale à un
moment donné et qui a été retirée très rapidement, nous a beaucoup
perturbé.
Alors, pour moi, ce n'était pas une surprise, parce que j'en ai déjà vu
d'autres des études dans d'autres domaines, totalement bidonnées. On va
dire que
celle-là était pire que les autres parce qu'elle était tellement
grossière que
c'était facile à voir tout de suite. Et d'ailleurs, nous avons été très
choqués
qu'un Ministre de la Santé, Médecin, Spécialiste, habitué à lire des
études
toute la journée quand il était à l'hôpital, prenne cette étude pour
argent
comptant immédiatement et prenne une décision politique et juridique
avec un
décret exclusivement déclenché par cette étude, qui était une étude
totalement
bidon.
Narrateur:
Les décisions
précipitées d’Olivier Véran sont d'autant
plus surprenantes que tout le monde sait dans la communauté
scientifique que
les études peuvent être manipulées par l'industrie pharmaceutique.
Pr.
Christian
Perronne: Et le rédacteur
en chef du Lancet
lui-même a fait un pamphlet en 2016, pour dire: "Dans mon
journal ça ne
va pas du tout, c’est infiltré par l’industrie. On publie des articles
qui sont
complètement faux."
Extraits
d’un
Journal TV:
[BFM
TV: Le patron du
The
Lancet, Horton a dit: Maintenant, on ne va plus pouvoir publier des
données de
recherches cliniques parce que les laboratoires pharmaceutiques,
aujourd'hui,
sont tellement forts financièrement et arrivent à avoir de telles
méthodologies
pour nous faire accepter des papiers, qui, apparemment
méthodologiquement sont
parfaits, mais qui au fond, font dire ce qu'ils veulent à cela. C'est
très
grave.]
Narrateur:
Le scandale The
Lancet est ahurissant. Mais il y a un
autre scandale énorme, cette fois franco-français qui éclabousse les
études sur
l’Hydroxychloroquine. Dès la fin du mois de mars, la France a lancé une
grande
étude nommée Discovery pour identifier les médicaments qui marchent
contre la
Covid.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Emmanuel
Macron: On a le
protocole Discovery auquel on croit beaucoup, et qui est très
important, qui
est un protocole européen. Avec, vous le savez, plusieurs branches, il
y en a
une sur la fameuse Hydroxychloroquine et Azithromycine, il y en a aussi
sur le
Remdesivir et plusieurs autres protocoles de traitement. On aura des
résultats
le 14 mai.]
Narrateur:
Finalement,
après des mois d'attentes, des résultats
partiels sont tombés en septembre, et ils sont saisissants. Dans
Discovery, le
groupe de malades ayant reçu de l'Hydroxychloroquine a connu 31% de
morts de
moins que le groupe qui n'a pas reçu de médicaments. L'étude montre
également
une réduction de 17% de la sévérité des symptômes, c'est très
encourageant pour
ce médicament. Toutefois il faut préciser que ces résultats ne sont pas
significatifs sur le plan statistique car le nombre de patients n'est
pas assez
élevé. Cela veut dire qu'il fallait intégrer plus de patients pour
confirmer ce
bon résultat. Mais ce n'est pas ce qu'ont décidé les responsables
français de
l'étude. Au contraire, à la mi-juin, ils ont décidé de l'arrêter,
rendant
statistiquement contestable des résultats pourtant favorables à
l'Hydroxychloroquine. Et il s'est passé exactement la même chose au CHU
d'Angers où l'Hydroxychloroquine était testée contre Placebo. L'étude
Hycovid a
été arrêtée brutalement, alors que l'Hydroxychloroquine était en train
de
montrer une diminution de la mortalité de 46%. Là encore, le résultat
n'est pas
significatif statistiquement, faute de patients en nombre suffisant.
Mais avec
un tel signal positif, une mortalité divisée par deux, il y avait
toutes les raisons
de continuer l'étude plutôt que de l'arrêter en cours de route.
Pr.
Didier Raoult: Je voudrais bien
que des
journalistes d'investigation interrogent les gens responsables de ces
essais,
pour leur dire: Mais comment se fait-il que vous les ayez arrêtées?
Quel est le
rationnel scientifique de l'arrêt d'un traitement qui a été mis en
cours, qui
est officiel, que vous l'arrêtez prématurément alors que vous n'avez
qu'une
partie de ce que vous aviez prévu de faire et que les résultats
préliminaires
sont en faveur de l'Hydroxychloroquine. Ça c'est une question
intéressante.
Narrateur:
Cette affaire est
d'autant plus troublante que par
comparaison, un autre médicament a bénéficié d'un traitement très
différent. Il
s'agit du Remdesivir. Un médicament à 2000 euros/dose, fabriqué par le
laboratoire Gilead. En septembre 2020, le Pr. Yazdanpanah, principal
architecte
de Discovery est auditionné au Sénat.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Pr.
Yazdanpanah: En
ce qui
concerne le Remdesivir, nous n’avons pour l’instant aucune preuve sur
l'efficacité de ce traitement. Il y a eu quatre essais cliniques
internationaux
sur Remdesivir pour nous. Il n'y a aucun qui nous montre vraiment que
ce
traitement est efficace donc on considère qu'il faut continuer à
évaluer ces
traitements…]
Narrateur:
Malgré
l'accumulation d'études défavorables, le Pr.
Yazdanpanah veut donc continuer l’essai Discovery sur le Remdesivir
alors qu'il
a été décidé d'arrêter l’essai sur l'Hydroxychloroquine au moment où
elle
semblait diminuer la mortalité de 31%. Alors pourquoi un tel deux poids
deux
mesures? Ce médicament, le Remdesivir, serait-il une clé d'explication
du
scandale autour de l'Hydroxychloroquine? C'est la piste clairement
évoquée par
le Pr. Raoult, auditionné au Sénat en juin 2020.
Pr.
Didier Raoult: Je vous
recommande de faire une
véritable enquête sur Gilead et Remdesivir. Si vous regardez la
structure de
Gilead, vous comprendrez que c'est quelque chose qui ne fonctionne
qu'avec très
peu de produits, très peu de personnel et une influence considérable.
Narrateur:
Ce qui s'est
passé dans les semaines suivant cette
audition, va définitivement donner raison au Pr. Raoult. En juillet, à
la
surprise générale, le Remdesivir obtient de l'Union Européenne et de la
France,
une autorisation temporaire de mise sur le marché. C'était plus
qu'étonnant car
il n'existait alors aucune preuve de son efficacité et il y avait des
signaux
très clairs de sa toxicité sur les reins et sur le foie.
Dr.
Éric Ménat:
Il donne des
insuffisances rénales potentiellement
graves chez les gens. Je vous rappelle que ceux qui sont vraiment
malades sont
souvent des gens fragiles, âgés, ils ont un rein déjà fatigué, et en
plus la
maladie, le virus, attaque le rein puisque vous savez qu'en dehors des
poumons,
il attaque le cœur et le rein. Donc on est face à un virus qui attaque
le rein
chez des gens qui ont déjà un rein fragile, on leur donne un médicament
qui
donne des insuffisances rénales. Est-ce raisonnable?
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Le Remdesivir,
déjà c'est un traitement cher, lourd, hospitalier, bourré d'effets
indésirables.
Dr.
Éric Ménat:
C'est un
médicament cher, injectable, réservé à
l'hôpital. C'est un antiviral. Donc il ne peut marcher que dans la
première
phase de la maladie. Quand vous êtes hospitalisé et que vous commencez
à être
en soins intensifs ou au moins sous oxygène, et vous commencez des
insuffisances respiratoires, c'est fini, il ne marche plus. Il faut le
donner
beaucoup plus tôt, comme l’Hydroxychloroquine. Sauf qu'on ne l'a pas en
ville
puisque c'est un médicament hospitalier. Donc c'est doublement absurde,
parce
qu’on met en avant un médicament qui est à usage exclusivement
hospitalier,
pour des malades qu'il faut traiter avant qu'ils arrivent à l'hôpital.
En face
vous avez l’Hydroxychloroquine. L’Hydroxychloroquine, on la connaît
depuis 30
ans. On connaît tous ses effets secondaires, on n'a aucune inconnue sur
cette
molécule, et elle coûte 4 euros. Vous êtes Ministre de la Santé, vous
décidez
d'essayer lequel? Celui que vous ne connaissez pas qui vaut entre 2000
et 4000
euros? Ou celui que vous connaissez parfaitement et qui vaut 4 euros?
Voilà ce
que je pense du Remdesivir.
Me.
Fabrice Di
Vizio: Quand l’ANSM a
accordé au
Remdesivir l'autorisation provisoire de mise sur le marché, donc une
ATU, et
bien, deux jours plus tard, le Haut Conseil de Santé Publique, au terme
de ces
débats, qui sont publics, et on a les transcriptions, disait que
c'était
inefficace, cher, et qu'aucune preuve de l'efficacité clinique n'avait
été
apportée. Donc, comment est-ce que l’ANSM a pu accorder l'autorisation
avec le
texte dit: "Une présomption forte d'efficacité", là
où les
experts, deux jours plus tard, diront que c'est notoirement inefficace…
Pr.
Christian
Perronne: Et en un temps
record, en deux
semaines, c'était autorisé à l’Agence du Médicament américaine, en un
temps
record à l'Agence du Médicament européenne, en un temps record à
l’Agence du
Médicament française, ils ont une autorisation de mise sur le marché.
Mais
c'est un scandale énorme!
Narrateur:
Ce scandale
énorme devient encore plus criant à
l'automne. Le 8 octobre 2020, la Commission Européenne signe l'achat de
500 000
doses de Remdesivir avec le laboratoire Gilead. A plus de 2000 euros le
traitement, c'est un contrat à plus d'un milliard d'euros pour un
médicament
qui n'a jamais fait la preuve de son efficacité. Plus grave encore,
quelques
jours après ce méga-contrat, l’OMS publie des résultats de son grand
essai
Solidarity. Les conclusions sont claires et définitives: Le Remdesivir
ne sauve
pas la moindre vie et n'accélère pas la guérison des malades. Ces
conclusions
définitives n'ont pas empêché l'Union Européenne de signer un contrat à
un
milliard d'euros pour ce médicament. Et dans la foulée de ce contrat,
le
Remdesivir est distribué largement dans les hôpitaux français.
Pr.
Didier Raoult: Juste après que
tout le monde se
soit mis d'accord sur le fait que le Remdesivir ne sert à rien, on
reçoit du
Ministère de la Santé, du Directeur Général de la Santé, une lettre qui
nous
dit: "Maintenant, vous pouvez utiliser le Remdesivir quand
vous voulez.
C'est gratuit, on en a tant que vous voulez. Vous pouvez donc mettre
des
perfusions pendant dix jours avec un produit qui ne sert à rien et
qu'on a
acheté. Mais, vous n'avez pas le droit d'utiliser l’Hydroxychloroquine
qui est
un médicament que deux milliards de personnes ont pris dans leur vie et
qui n'a
pas donné d’effets secondaires, à part essentiellement des problèmes
oculaires
quand on prend ça pendant plus d’un an." Donc si vous voulez,
il y a
quand même là un problème de fond.
Narrateur:
C'est
particulièrement choquant parce qu'au même moment
l'Agence du Médicament a refusé à nouveau d'autoriser
l’Hydroxychloroquine en
France.
Me.
Fabrice Di
Vizio: L'Agence du
Médicament refuse au
Pr. Raoult une recommandation temporaire d'utilisation de la
Chloroquine en
disant: "Écoutez on ne peut pas Professeur, parce que vous
comprenez,
premièrement ça ne marche pas, deuxièmement, c'est dangereux, c'est
même très
dangereux la Chloroquine." Sauf que, cette même Agence du
Médicament,
avait deux mois auparavant, trois mois auparavant, au mois de juillet,
accordé
une autorisation cette fois-ci temporaire d'utilisation au Remdesivir
qui lui,
était notoirement inefficace, et je vais y venir, et effectivement,
spécialement dangereux. Qu'est-ce que ça cache? Tous les scandales de
santé
publique commencent comme ça.
Narrateur:
Ce refus
d'autoriser l'Hydroxychloroquine est d'autant
plus choquant qu’à la fin du mois d'octobre, les preuves scientifiques
sont
désormais massivement favorables à ce traitement. Sur 136 études
réalisées sur
ce médicament, les 3/4 concluent à son efficacité contre la Covid-19.
Et quand
l'Hydroxychloroquine est donnée suffisamment tôt, comme le recommande
le Pr.
Raoult, elle montre une efficacité dans 100% des études publiées. C'est
pour
cela que de très nombreux pays utilisent et recommandent ce médicament
dans le
monde entier. A l'automne 2020, trois des plus grandes nations de la
médecine
recommandent officiellement l’Hydroxychloroquine: La Chine qui a inclu
la
chloroquine dans sa liste officielle des médicaments contre la Covid;
la Russie
qui recommande l’Hydroxychloroquine en traitement précoce; et l’Inde
qui la
recommande aussi à la fois en prévention, et en traitement de la
Covid-19.
Pr.
Christian
Perronne: Si on regarde
les pays où la
létalité était la plus forte, c’est les pays les plus riches et
soi-disant les
plus avancés sur le plan économique, que ce soit la France, la
Grande-Bretagne,
la Belgique. Et on s'aperçoit que ce sont des pays qui sont le plus
sous
l'influence de l'industrie pharmaceutique. Et ça, c'est dramatique,
alors que
les pays soi-disant plus pauvres qui n’avaient pas trop les moyens,
s’en sont
extrêmement bien sorti avec des médicaments pas chers comme
l’Hydroxychloroquine.
Narrateur:
Face à toutes
ces preuves, le refus de l'Agence du
Médicament d'autoriser l'Hydroxychloroquine est difficilement
compréhensible.
Me.
Fabrice Di
Vizio: Quelle indécence
de la part de
l’ANSM de venir dire que la Chloroquine n'a pas de présomption simple
d'efficacité, là où le Remdesivir avait lui une présomption forte
d'efficacité.
Nous sommes dans un mensonge d'État, le Parquet de
Paris devrait ouvrir
une information judiciaire pour savoir pourquoi est-ce que finalement,
depuis
le départ, la Chloroquine est à ce point décriée, et pourquoi est-ce
que le
Remdesivir dont l'efficacité a été reconnue comme nulle,
... a été
autorisé. Qu'est-ce que ça cache? Nous saisissons le Parquet parce que
nous
pensons, nous craignons qu'effectivement nous soyons au cœur d'un
scandale.
Narrateur:
De fait, pour
imposer le Remdesivir, Gilead a sorti en
coulisse l'artillerie lourde. Et ce, dès le début de l'épidémie. Lors
de son
audition au Sénat en juin 2020, le Pr. Raoult dénonçait déjà des
méthodes peu
orthodoxes.
Pr.
Didier Raoult: Je vous le
rappelle, quand j'ai
commencé à parler pour la première fois de la Chloroquine, il y a
quelqu'un qui
m'a menacé à plusieurs reprises, de manière anonyme. J'ai porté plainte
et j'ai
fini par trouver que c'était celui qui avait reçu le plus d'argent de
Gilead
depuis six ans. Donc si vous voulez, j’ai une expérience personnelle,
de
fonctionnements, qui ne me paraissent pas normaux. Peut-être que c'est
une
coïncidence, mais ce n’est pas sûr parce qu'il me disait qu’il
m'interdisait de
parler de la Chloroquine. J’ai les mails, j'ai porté plainte
officiellement à
la police, on sait qui c'est.
Narrateur:
Ce que révèle le
professeur, n'est pas un cas isolé car
la plupart des experts infectiologues français ont des liens d'intérêts
avec le
laboratoire Gilead. Le journal Sciences et Avenir
en a calculé le nombre
exact: 85% des spécialistes français les plus reconnus des maladies
infectieuses ont touché de l'argent de Gilead Sciences. Au total,
Gilead a
versé 18,5 millions d'euros aux professionnels de santé en France
depuis 2013.
En coulisses, les enjeux financiers sont immenses, l'évolution du cours
en
bourse de Gilead étant directement liée à la question de l'efficacité
ou non de
l'Hydroxychloroquine, et donc en partie aux déclarations du Pr. Raoult.
Dr.
Éric Chabrière:
Gilead est une
société qui est cotée à peu près à 100
milliards de dollars. Nous pouvons remarquer sur ce graphique qui est
le cours
de bourse, que son action a monté de façon assez spectaculaire avec le
début de
la pandémie. Cela a donné une augmentation de la valorisation de cette
entreprise d'environ 30 milliards de dollars et on peut voir que cette
augmentation est très fluctuante. Donc il est tout à fait normal,
effectivement,
qu'à chaque nouvelle information, comme le début des tests, des essais
cliniques qui montrent que le Remdesivir est prometteur, que cette
action
monte. Mais ce qui est assez étonnant, c'est qu'on voit que les baisses
de ce
cours de bourse semblent expliquées par la promotion de l’IHU, de
l'Hydroxychloroquine, donc un traitement concurrent du Remdesivir. Et
nous
pouvons voir que ces fluctuations sont quand même importantes et
représentent
en quelques jours, environ des fluctuations de 10 milliards de dollars.
Narrateur:
Au regard des
milliards qui se jouent dans l'économie
boursière, le laboratoire Gilead compte sur ses nombreux experts avec
lesquels
il entretient des liens d'intérêts.
Extrait
d’un
Journal TV:
[TV5monde:
L'Hydroxychloroquine
que défend le Pr. Raoult, vous pas, vous restez sur vos positions?
Karine
Lacombe: Je pense
que
maintenant la question est réglée.]
Narrateur:
C'est le cas en
particulier du Pr. Karine Lacombe qui
s'est positionnée sur tous les plateaux de télévision contre
l'Hydroxychloroquine. Karine Lacombe a reçu plus de 200 000 euros des
laboratoires pharmaceutiques, dont 28 milles du laboratoire Gilead. Dès
le
départ, avant même d'avoir les résultats du Discovery, elle annonçait
l’inefficacité de l'Hydroxychloroquine.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Karine
Lacombe: Grâce à
Didier
Raoult, et on le remerciera pour ça, on a mis en place beaucoup plus
rapidement
que prévu, les essais qu'il fallait, et on montrera que la Chloroquine
ne
marche pas, en revanche que d’autres marchent, …]
Dr.
Éric Chabrière:
Tous ces experts
qu'on a pu voir continuellement sur les
chaînes d'informations n'ont jamais déclaré leurs liens d'intérêts, ni
leurs
conflits. Normalement, ils auraient dû se retirer, mais ni même les
médias
n'ont fait ce travail pour expliquer aux téléspectateurs finalement
quels
étaient les liens des personnes qui se prétendaient experts.
Dr.
Éric Ménat:
Mais peut-on
avoir aujourd'hui un expert qui ne
travaille pas pour un laboratoire, puisque les laboratoires font
systématiquement travailler les experts les plus connus? On a beaucoup
critiqué
les experts qui ont reçu de l'argent des laboratoires, de Gilead entre
autres.
Est-ce que vraiment ça les a influencés? Je ne sais pas. Je ne me
permettrai
pas de faire de procès d'intention, mais il faut un contre-pouvoir.
Mais
aujourd'hui, on a vu avec cette crise du Coronavirus que le
contre-pouvoir
n'existait pas. On a vu que tout le monde allait dans le sens du plus
riche.
Tout le monde allait dans le sens du médicament qui va rapporter le
plus et
c'est ça qui est gênant. On dit alors: A qui doit-on faire confiance?
Narrateur:
L'influence de
Gilead s'exerce aussi au plus haut niveau.
Même nos décideurs ont été trompés. Comme l'a confié un grand
infectiologue au
journal Marianne: "Gilead a atteint un
tel pouvoir qu'il peut
compter sur certains grands professeurs pour faire office de lobbyistes
officieux (…) ce qui a fait que le Remdesivir s'est retrouvé en haut de
la
fiche sans aucune preuve de son efficacité."
Extrait
d’un
Journal TV:
[Journaliste
Sonia Mabrouk:
Monsieur le
Ministre de la Santé, le Gouvernement doit la vérité aux français
évidemment
sur la gestion de la crise. Est-ce que vous excluez tout soupçon de
collusion
entre les intérêts du laboratoire Gilead et des membres du conseil
scientifique?
Olivier
Véran: Moi je
n'aime
pas les accusations ad nominam. Je considère que les membres du Conseil
Scientifique ont fait une action gratuite depuis plusieurs mois
maintenant dans
notre pays…
Journaliste
Sonia
Mabrouk: Vous en
êtes
sûr?
Olivier
Véran: … ont été
importantes…
Journaliste
Sonia
Mabrouk: Qu’il
n'y a pas
de soupçons de conflits d’intérêts?
Olivier
Véran: Moi je
suis sûr
qu’ils n’ont pas été payés par le Gouvernement ou par qui que ce soit
pour
réaliser leurs actions scientifiques.
Journaliste
Sonia
Mabrouk: Ce n’est
pas la
question. Est ce qu'ils ont des liens financiers avec des laboratoires?
Olivier
Véran: Si vous
citez le
laboratoire Gilead par exemple. Lorsque j'étais député, vous pourrez
voir que
lorsqu'il y avait un traitement contre l'Hépatite C qui avait émergé, …
Journaliste
Sonia
Mabrouk: Mais ce
n’est
pas ma question!
Olivier
Véran: … J'avais
moi-même contacté les laboratoires pour dire que le prix était excessif.
Journaliste
Sonia
Mabrouk:
J’entends bien.
Ma question, je vous la répète, concerne les membres du Conseil
Scientifique
qui ont quand même géré cette crise sanitaire. Est-ce que vous pouvez
nous dire
ce matin que vous êtes sûr, qu'il n'y a aucun lien avec ces personnes
et les
laboratoires Gilead?
Olivier
Véran: Je peux
vous
dire Sonia Mabrouk qu’il n’y a eu aucune intention cachée ou directe
d'aucun
membre du Conseil Scientifique pour nous pousser à prescrire quelques
traitements que ce soit.
Journaliste
Sonia
Mabrouk: Y
compris le
Remdesivir?
Olivier
Véran: Y compris
le
Remdesivir. Je n'ai eu aucune recommandation du Conseil Scientifique
sur le
Remdesivir.]
Narrateur:
La journaliste
Sonia Mabrouk avait raison d'être
insistante. La plupart des experts qui ont conseillé le Président de la
République, ont eu des liens d'intérêts avec Gilead. C'est le cas en
particulier du Pr. Yazdanpanah, le pape de l'étude Discovery. Ce
chercheur a
siégé au moins 10 fois au banc de Gilead entre 2013 et 2015. Devant les
députés, le Pr. Raoult n'a pas caché sa surprise, en découvrant
l'intimité du
responsable de l'étude Discovery avec le directeur de Gilead.
Pr.
Didier Raoult: J'ai été surpris
de voir que le
directeur de Gilead devant le Président de la République et devant le
Ministre,
tutoyait celui qui était en charge des essais thérapeutiques en France
pour
Covid-19. Moi je n’ai pas l'habitude de me faire tutoyer par les
directeurs de
l'industrie pharmaceutique. S’il le faisait, alors je leur répondrai en
le
vouvoyant. Je ne le ferai pas.
Narrateur:
Bruno Hoen,
l'autre grand expert de Discovery était
membre du groupe de travail français qui s'est exprimé le 5 mars 2020
en faveur
du Remdesivir. Bruno Hoen a reçu pas moins de 52 000 euros de Gilead en
avantages, rémunérations, et contrats d'expertises. Même le Président
du
Conseil Scientifique Jean-François Delfraissy a pris part une fois au
Conseil
de Gilead en 2013. Plus inquiétant encore, Christian Chidiac, Président
de la Commission
qui a conseillé le Président de la République sur les traitements
contre le
Coronavirus, a siégé plusieurs fois au banc de Gilead. Selon le Pr.
Raoult,
c'est cet homme qui a influé pour que le Premier Ministre empêche les
médecins
hospitaliers de prescrire librement l'Hydroxychloroquine aux malades de
la
Covid-19.
Pr.
Christian
Perronne: Ce qui est en
train de sauter aux
yeux de la population, c’est qu’à propos de l’Hydroxychloroquine, on
est en
train de dévoiler au grand jour toutes les magouilles de l’industrie
pharmaceutique pour promouvoir des médicaments très chers, et pouvoir
occuper
les marchés.
Narrateur:
En effet,
pendant que l'Hydroxychloroquine était
diabolisée, d'autres molécules efficaces ont été purement et simplement
ignorées. C'est le cas de vieux médicaments qui ne sont plus sous
brevets,
comme la Colchicine, l'Ivermectine et la Fluvoxamine. Tous les trois
ont fait
la preuve de leur efficacité contre la Covid-19 dans des études
contrôlées
contre Placebo, et pourtant les autorités et les médias restent
silencieux.
Comme s'il n'y avait pas de place dans notre système médical pour les
molécules
qui ne rapportent plus rien aux laboratoires.
Pr.
Didier Raoult: Si vous dites
maintenant, alors
qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver
de
nouvelles molécules, que "Vous savez, il suffit de recycler
des
molécules anciennes qui sont génériques et qui ne coûtent rien",
vous
sciez toute une branche de la science qui s'est développée depuis 20
ans, et
donc vous avez des plus grandes difficultés à trouver des gens qui
regardent ça
avec un œil favorable. Tout ça, heurte à la fois un modèle économique,
pas que
des intérêts, comment on développe une molécule qui n'est plus
rentable, c'est
pas le faire dans notre monde.
3-
Vitamine D: Essentielle à notre organisme
Narrateur:
Parmi les
victimes de ce modèle économique, il n'y a pas
que les vieux médicaments génériques. Il y a aussi et surtout les
molécules
naturelles comme les vitamines, les minéraux, ou les plantes
médicinales dont
l'efficacité peut pourtant être extraordinaire sans le moindre effet
indésirable. C'est le cas en particulier de la Vitamine D, considérée
par de
nombreux scientifiques comme la Vitamine de la décennie. Peu coûteuse,
facile à
prendre, et sans effets secondaires, la Vitamine D est au cœur de plus
d'une
quarantaine d'études scientifiques, concluant à des résultats si
spectaculaires
pour lutter contre la Covid qu'on pourrait ne pas le croire. Comme vous
allez
le découvrir, la Vitamine D, en prévention, permettrait de réduire de
moitié le
nombre d'infections au Coronavirus. Mais ce n'est pas tout. La Vitamine
D en
traitement, aurait pu sauver la vie de milliers de malades hospitalisés.
Professeur
de
médecine, de physiologie, de biophysique et
de médecine nucléaire, le Professeur Michael Holick est l'un des plus
grands
experts de la Vitamine D dans le monde. Il est à l'origine de plusieurs
études
portant sur l'action de la Vitamine D contre le Coronavirus. Le
Professeur
Holick nous a reçu pour partager avec nous les résultats saisissants de
ses
recherches, et les découvertes récentes autour de la Vitamine D.
Pr.
Michael
Holick: Nos
connaissances à propos de la
Vitamine D ont été bouleversées ces dix dernières années. Si son rôle
est
crucial pour la santé des os et le métabolisme en calcium, il l’est
aussi pour
de nombreuses autres fonctions biologiques, notamment, la réduction des
risques
de maladies telles que les cancers communs, les maladies auto-immunes
graves
comme la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, le diabète de type
I, mais
aussi les maladies infectieuses y compris selon nous la pandémie de
Covid-19,
mais aussi les risques de maladies cardiovasculaires, de maladies
d'Alzheimer,
de dépression et la liste est encore longue.
De
nombreuses
études ont décrit comment la Vitamine D
agit sur le système immunitaire. Nous avons pu observer qu’une simple
prise de
Vitamine D permet d'agir sur 291 gènes régulant la fonction
immunitaire, la
mortalité cellulaire et toute une série de processus biologiques. Une
de nos
études a donné des résultats incroyables: Donner à une personne 600
unités de
Vitamine D par jour permettait de réguler 150 à 200 gènes du système
immunitaire. Mais avec 4000 unités par jour, ce chiffre passait à
environ 300 à
400 gènes et à plus de 1000 avec dix mille unités par jour. C’est ce
rôle
majeur pour la santé et le bien-être général, qui explique l'intérêt
qu'elle
suscite dans le monde entier.
Narrateur:
Au début de
l'année 2020, lorsque l'épidémie s'abat sur
le monde, le Pr. Holick est convaincu que la Vitamine D pourrait avoir
un
impact contre le Coronavirus.
Pr.
Michael
Holick: Lorsque tout a
commencé en février
dernier, j'étais en Argentine pour une partie de pêche, et j'ai attrapé
le
dernier vol pour rentrer. J’ai aussitôt écrit à mon hôpital, et à
d'autres
personnes concernées, en expliquant que cette pandémie pouvait
certainement
être combattue en augmentant les apports en Vitamine D dans la
population. De
nombreuses études, dont les données de l'enquête nationale de santé
américaine,
ont montré qu'une amélioration du taux de Vitamine D réduit les risques
d'infections des voies respiratoires supérieures dont la grippe, et
plusieurs
virus du rhume, comme les Adénovirus, et les Coronavirus.
Nous
connaissons
le rôle très important de la Vitamine D
pour le bon fonctionnement du système immunitaire qui est la régulation
de
l'activité des cytokines. Or, l'une des principales complications de la
Covid-19, est justement ce qu'on appelle l'orage cytokinique à
l'origine de
nombreuses complications et de décès liés à cette infection. Il n'est
donc pas
surprenant qu'une amélioration du taux en Vitamine D puisse contribuer
à
combattre cette maladie virale.
Narrateur:
Le Pr. Holick
n'est pas le seul à comprendre
immédiatement l'intérêt exceptionnel de la Vitamine D pour lutter
contre la
Covid.
Dr.
Éric Ménat: La Vitamine D
est absolument essentielle, ça réduit, ça
a été prouvé, les infections hivernales. Vous aurez des grippes moins
fréquentes, moins fortes. Vous aurez moins de rhumes. Vous aurez même
moins de
cancers! Il y a une très belle étude canadienne qui montrait que
c'était deux
fois moins de cancers du sein chez les femmes qui avaient un taux de
Vitamine D
suffisant, par rapport à celles qui ont une carence en Vitamine D. Là
aussi,
pourquoi n'a-t-on pas dit aux français: "Allez chez votre
médecin,
faites doser votre Vitamine D!"
Dr.
Claude
Lagarde: C'est un
complément alimentaire de base. S'il
y en avait qu'un, ce serait celui-là.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: C'est une
vitamine qui
est fabriquée, métabolisée par le soleil. Donc le soleil est important.
Et pour
que cette vitamine puisse avoir des effets positifs sur votre corps, il
faudrait rester tous les jours un quart d'heure, à moitié à poil, en
plein
soleil.
Pr.
Vincenzo
Castronovo: Quand on n'a pas
assez de
Vitamine D, le système immunitaire va réagir à l'excès, et on sait que
cet
excès va causer des dégâts bien plus importants dans le cas du
Covid-19, que ce
qu'aurait infligé le virus. Et un poumon qui est trop attaqué et qui
est
l'objet d'un champ de bataille trop important, ne sera plus
fonctionnel, et
c'est comme ça que le patient va mourir asphyxié.
Dr.
Dominique
Baudoux: Le problème du
Covid, c'est un problème
d'inflammation. Et lorsqu'on regarde les capacités anti-inflammatoires
de la
Vitamine D, on devrait systématiquement la retrouver sur toutes nos
tables au
petit-déjeuner!
Dr.
Éric Ménat: Et même,
supposons que ça ne marche pas contre le
Coronavirus, on aura amélioré la santé des français, on aura amélioré
leurs os,
on aura amélioré leur immunité, on aura réduit le risque de cancer.
Donc
pourquoi ne pas l'avoir proposé, au lieu de dire aux gens "Rentrez
chez
vous, fermez les fenêtres, fermez les volets et priez pour que vous ne
soyez
pas malades"?
Narrateur:
En France, le 22
mai 2020, l'Académie de Médecine a
publié un communiqué dans lequel les académiciens affirment que la
Vitamine D
devrait être donnée aux malades de la Covid pour atténuer la tempête
inflammatoire et ses conséquences. Une information de la plus haute
importance,
qu'aucun média ni aucune autorité sanitaire ne va pourtant relayer. Le
professeur Holick décide alors de mener plusieurs études grandeur
nature pour
évaluer concrètement l'action de la Vitamine D sur le Coronavirus, à
différentes
étapes de la maladie.
Pr.
Michael
Holick: Nous avons mené
une étude aux Etats-Unis sur
191 000 patients atteints de Covid-19. Et nous avons montré qu'une
carence en
Vitamine D augmente de 54% le risque de contracter cette maladie, et
ce, quel
que soit votre origine ethnique, votre âge où la région où vous vivez
aux
Etats-Unis.
Narrateur:
Les résultats
obtenus par le Pr. Holick sont
exceptionnels. Ils sont publiés le 17 septembre 2020 dans le journal
médical Plos
One. Mais ce n'est pas tout. Non seulement la Vitamine D
réduirait de
moitié les infections, mais en plus, elle réduirait drastiquement la
gravité de
la maladie.
Pr.
Michael
Holick: Parallèlement,
nous avons mené une autre
étude, pour déterminer si les patients hospitalisés pour des infections
sévères, présentaient ou non des risques accrus de complications et de
décès en
cas de carence en Vitamine D. Et nous avons découvert qu'au-delà de 40
ans, les
personnes ayant une carence en Vitamine D présentaient un risque létal
à 50%
supérieur, et qu'elles développaient beaucoup plus de complications
liées à la
maladie.
Narrateur:
Le Pr. Holick
parle bien d'une baisse de moitié du
nombre de morts avec de bons taux de Vitamine D, ce qui est un résultat
exceptionnel. Cela peut paraître difficile à croire, mais ces chiffres
ont été
confirmés par plus de 40 études internationales.
Pr.
Michael
Holick: Si l'on met en
regard les personnes ayant
pris ou non une supplémentation en Vitamine D et ayant été contaminées,
et que
l'on analyse l'impact de la Vitamine D sur la réduction des risques de
complications ou de décès, et les données scientifiques publiées, il en
ressort
que cette Vitamine pourrait diminuer de 40 à 50% les formes sévères de
l'infection et le risque létal. Je pense qu'on parle potentiellement de
centaines ou de milliers de personnes qui auraient pu éviter
l'hospitalisation,
effectuer des séjours moins longs à l'hôpital, et surtout éviter la
complication ultime, à savoir la mort. Nous en concluons donc que c'est
un
bouclier puissant contre le risque de contracter cette maladie
infectieuse
grave.
Narrateur:
Une étude
randomisée espagnole confirme la conclusion du
Pr. Holick. Des chercheurs ont séparé en deux groupes 76 patients. Les
deux
tiers ont reçu des doses importantes d'un analogue de la Vitamine D3,
un tiers
a reçu un simple Placebo. Dans le groupe Placebo, la moitié des
patients est
partie en réanimation; 2% seulement dans le groupe Vitamine D. Mieux,
tandis
que 8% du groupe Placebo sont décédés, on ne déplore aucun mort chez
les patients
du groupe Vitamine D. À ce jour, on estime que 40% de la population
mondiale
est carencée en Vitamine D, 80% en France. Parmi les plus touchées: Les
personnes âgées.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Plusieurs
études
en France et dans le monde prouvent que
la Vitamine D réduit le risque d'infections et de décès. C'est ce qui a
été
observé dans un EHPAD, frappé par le virus lors de la première vague.
La
Vitamine D a protégé les malades.]
Pr.
Cédric
Annweiler: On a observé en
fait que les résidents qui
avaient été supplémentés en Vitamine D récemment, dans les 30 derniers
jours
avant l'infection, avaient une survie qui étaient 90% supérieure aux
résidents
qui avaient reçu de la supplémentation en Vitamine D plus ancienne.
Pr.
Michael
Holick: Je pense que les
maisons de retraite
devraient en prendre conscience et administrer systématiquement de la
Vitamine
D à leurs résidents. Nous savons qu'ils sont susceptibles d'être à
risque de
carence en Vitamine D et qu'ils courent un risque très élevé de
contracter
cette infection et d'en mourir. Aux États-Unis, j'ai recommandé
d'administrer
immédiatement 50 000 unités de Vitamine D.
Narrateur:
Le message du
Pr. Holick n'a toujours pas été entendu.
Seule l'Angleterre a finalement décidé, à l'automne 2020, de distribuer
gratuitement une supplémentation en Vitamine D à deux millions de
personnes
âgées et vulnérables, dans l'espoir de réduire leur risque de
développer une
forme grave de Covid-19. En France, comme dans d'autres pays, le
silence des
autorités est assourdissant.
Pr.
Michael
Holick: Quand on dit que
la Vitamine D peut aider à
combattre cette maladie, cela soulève des interrogations. Les médecins
connaissent le lien entre la Vitamine D, le rachitisme et la santé
osseuse,
voire même peut-être l'ostéoporose chez la femme. Mais ils sortent
rarement des
sentiers battus. Ils ne savent pas qu'il existe une littérature
impressionnante
démontrant que les récepteurs de Vitamine D sont présents dans le
système immunitaire,
et qu'ils ne sont pas là pour rien. Mais le sujet mobilise peu. Il est
peu
exploité par les fabricants de médicaments, par les professionnels de
la santé
ou par les responsables de la Santé Publique, qui sont censés s'occuper
du
bien-être de la population. J'espère donc vraiment que nos études et
celles qui
sont en train d'être publiées, finiront par attirer l'attention.
4-
Le Zinc: Oligo-élément indispensable pour l'immunité
Narrateur:
La Vitamine D
n'est pas le seul remède étrangement
oublié face à la Covid-19. Pour se défendre efficacement contre cette
maladie,
notre corps a également besoin d'oligo-éléments. Parmi les plus
importants, on
trouve le Zinc. Indispensable pour un bon fonctionnement du système
immunitaire, le Zinc a démontré une action incontestable pour enrayer
le
processus viral du Coronavirus.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: C'est un
oligo-élément
qui est fondamental. Il intervient quand même dans 200 réactions
chimiques dans
le corps, en boostant les hormones, en boostant des enzymes, le Zinc
est un
truc très important.
Pr.
Vincenzo
Castronovo: Le Zinc est un
métal
indispensable pour que les cellules se divisent normalement. Donc s'il
n'y a
pas de Zinc, les cellules ne savent pas se diviser, on ne sait pas
renouveler
les cellules. Donc le Zinc est indispensable pour la cicatrisation, il
est
indispensable pour la régénération de l'intestin, il est indispensable
pour la
réponse immunitaire. Le Zinc a été considéré comme le nutriment le plus
essentiel du système immunitaire, et sa carence dans le monde est
responsable
de plusieurs centaines de milliers de morts.
Dr.
Éric Ménat: En plus, on a
des études qui montrent que le Zinc marche
sur le Coronavirus. Si vous donnez une certaine quantité de Zinc en
aigüe, vous
avez une meilleure défense contre le virus. Mais évidemment, vous
n'allez pas
attendre d'être infecté pour prendre du Zinc. Mais vous avez des
dizaines
d'études sur l'intérêt du Zinc comme stimulant immunitaire pour réduire
le
risque d'infection virale. Alors non seulement ça réduit le risque
d'infection,
mais ça réduit surtout la gravité des infections. Pourquoi on n'a pas
dit aux
français: "Prenez du Zinc, allez voir votre médecin et voyez
avec lui
si vous avez besoin de Zinc." On peut même doser le Zinc dans
le sang.
C'est dommage qu'on n'ait pas fait ça. Mais ça ne rapporte rien à
personne.
Narrateur:
Le Zinc peut-il
donc être envisagé comme un traitement
possible contre le Coronavirus? Le pharmacien Claude Lagarde a été l'un
des
premiers en France à en être convaincu. En mars 2020, alors que la
France vit
la première semaine de son premier confinement, le Dr. Claude Lagarde
adresse
une publication réalisée par son laboratoire à un réseau de plusieurs
milliers
de médecins pour les sensibiliser sur la pertinence de cet
oligo-élément dans
le traitement de la Covid-19.
Dr.
Claude
Lagarde: Nous avons été
les premiers à parler du Zinc.
Après, tout le monde en a parlé, tout le monde en parle. Mais je n'ai
pas
inventé le Zinc, il était connu le Zinc. Depuis 50 ans on sait qu'il
est actif
sur les maladies virales.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Des vieux
médecins nous
ont appelé en disant "Mais toute façon tout le monde le sait,
avant on
prescrivait aux enfants des oligo-éléments, du Zinc et du Cuivre quand
il y
avait des infections virales."
Dr.
Claude
Lagarde: On a tout de
suite vu que les gens qui
tombaient, qui étaient malades, étaient des potentiels carencés en
Zinc. Car ce
Zinc agit à plusieurs niveaux dans cette infection, et dans les
infections
virales en générale. Il est capable de bloquer la réplication virale,
ça c'est
très important. C'est publié depuis 50 ans. Aucun n'en n'a parlé
officiellement. Ensuite, il agit dans l'immunité. Il a un intérêt
majeur aussi,
c'est qu'il va probablement jouer un rôle dans la pénétration du virus
dans la
cellule. Il peut bloquer, à ce niveau déjà, la pénétration du virus.
Dès que le
virus est entré dans l'organisme, il va créer des petites blessures
dans le
poumon. Il rentre par les voies respiratoires dans le poumon, il va
créer des
petites fissures, des blessures, et si on a suffisamment de Zinc dans
nos
cellules de proximité, on va cicatriser, on va enrayer le processus en
plus,
puisqu'on bloque la réplication virale, et ça se termine.
Pr.
Vincenzo
Castronovo: On a démontré
que le Zinc
interfère avec la division du virus. Donc pour moi, le Zinc devrait
faire
partie majeure de la stratégie de prévention du traitement du Covid.
Dans
plusieurs schémas thérapeutiques qui intégraient l'Azithromycine et
l'Hydroxychloroquine,
on a remis le Zinc, qui est en fait l'élément clé.
Pr.
Didier Raoult: On sait que
certaines choses qui avaient été
sous-estimées, comme le Zinc par exemple, jouent un rôle dans la
sévérité. Des
gens qui ont une pathologie sévère ont des taux de Zinc qui sont
beaucoup plus
bas que les autres, à côté d'autres données qui avait été écrites dans
la
littérature.
Pr.
Vincenzo
Castronovo: Je me rappelle
d'un
médecin new-yorkais qui avait eu 250 patients, chez qui il avait donné
de
l'Hydroxychloroquine et du Zinc, il n'a eu aucun mort. Intéressant de
savoir
que l'Hydroxychloroquine fait rentrer le Zinc dans la cellule, et une
fois que
le Zinc rentre dans la cellule, et qu'on a des taux élevés, le virus ne
sait
plus se diviser, et donc il meurt.
Narrateur:
A travers le
monde, d'autres observations confirment que
le Zinc pourrait être un élément clé des protocoles à base
d'Hydroxychloroquine.
Pr.
Christian
Perronne: La grande étude
qui a été publiée par les
médecins de New-York, a montré qu'en plus du Protocole Raoult à
l'Hydroxychloroquine et l'Azithromycine, ils ont rajouté du Zinc.
Alors, ils
ont eu d'excellents résultats.
Narrateur:
Même constat
pour le Dr. Cardillo, à Los Angeles, qui
est intervenu sur la chaîne américaine ABC pour confirmer que le
traitement à
base d’Hydroxychloroquine ne fonctionne de façon optimale qu'avec du
Zinc.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Dr.
Anthony
Cardillo:
L'analyse du
traitement à
l'Hydroxychloroquine, c'est qu'il ne fonctionne que lorsqu'on l'associe
au
Zinc. L'Hydroxychloroquine ouvre la voie au Zinc qui pénètre dans la
cellule
puis bloque la réplication du virus.
Présentateur:
Vous prescrivez
le Zinc,
et il est efficace pour les malades de la Covid-19.
Dr.
Anthony
Cardillo: Chaque
patient à
qui je
l'ai prescrit, était à la base très malade et au bout de 8 à 12 heures,
il
n'avait plus aucun symptôme.]
Pr.
Vincenzo
Castronovo: Récemment, une
étude, et
ça été rapporté à un congrès, a montré que les patients qui avaient un
taux de
Zinc bas et qui avaient été hospitalisés, avaient 2,5 fois plus de
risques de
mourir que ceux qui avaient un taux de Zinc normal. On n'en parle pas
ça. Vous
avez entendu parlé du Zinc? Non.
Narrateur:
En prévention,
l'efficacité du Zinc est tout aussi
avérée, notamment pour les personnes les plus fragiles et cela dans
l'indifférence générale des autorités sanitaires qui semblent ignorer
les
bienfaits de cet oligo-élément fondamental.
Dr.
Claude
Lagarde: On sait aussi,
par des études
épidémiologiques, que dans les EHPAD, dans les maisons de retraite, les
gens
âgés sont carencés en Zinc à 50%, un sur deux est carencé en Zinc,
parce qu'ils
mangent peut-être un peu moins bien, qu'ils assimilent moins bien au
niveau
intestinal. C'est beaucoup. Donc à eux, on pourrait en donner
systématiquement
et on aurait moins de besoins médicaux et médicamenteux pour traiter
toutes ces
personnes âgées qui sont suivies par des médecins régulièrement. C'est
très
facile de donner du Zinc même presque gratuitement dans les maisons de
retraite. On n'en parle pas. Je ne sais pas pourquoi, on préfère vendre
des
médicaments chimiques très chers. Parce que peut-être que les
scientifiques
d'aujourd'hui sont des jeunes générations et n'ont pas connu, il y a 30
ans,
les publications sur le Zinc. Tout est publié, tout existe! C'est
incroyable!
Incroyable que les comités scientifiques ne connaissent pas le Zinc.
Dr.
Éric Ménat: Les grands
spécialistes hospitaliers, et donc en partie
les experts qui ont géré cette crise, n'ont absolument pas cette
culture. La
seule prévention qu'ils connaissent des maladies infectieuses, ce sont
les
vaccins. Parce que pour eux, c'est la seule piste qui ait prouvé une
efficacité, mais c'est faux. On a des études sur le reste, mais elles
ne sont
pas assez puissantes, ou elles ne concernent pas un médicament bien
précis.
Donc ils ne veulent pas le prescrire.
5-
La Vitamine C: Stimulant immunitaire
Narrateur:
Une autre
molécule naturelle a obtenu des effets
impressionnants pour soigner les patients gravement atteints par le
Coronavirus: La Vitamine C. Les injections de Vitamine C ont démontré,
études
scientifiques à l'appui, une réelle efficacité contre les infections
respiratoires et sur les patients victimes de septicémie. Vous allez
comprendre
pourquoi de plus en plus de médecins sont convaincus que les patients
hospitalisés pour le Coronavirus, devraient recevoir immédiatement des
injections de Vitamines C.
Dr.
Dominique
Baudoux: Mon grand-père
pharmacien ne connaissait que
deux médicaments: La Vitamine C et l'Aspirine, pour se soigner de toute
pathologie virale. La Vitamine C se devrait d'être remise à l'honneur.
Dr.
Éric Ménat: La Vitamine C,
c'est un élément qu'on connaît depuis
peut-être un siècle comme stimulant immunitaire, 1 gramme, 2 gramme de
Vitamine
C, déjà on sait que ça a une action sur notre immunité. Et la Vitamine
C, elle
a un avantage: Vous ne pouvez jamais faire d'excès, vous ne pouvez
jamais avoir
un effet secondaire parce que vous avez pris trop de Vitamine C. Parce
que
c'est une Vitamine qu'on appelle hydrosoluble. Donc si vous en prenez
trop,
elle va repasser dans les urines, ce n'est pas grave, vous ne risquez
rien.
Mais pendant qu'elle passe dans le corps, elle agit. Et donc les fortes
doses
de Vitamines C, pourraient être efficaces.
Pr.
Vincenzo
Castronovo: J'ai un patient
qui est
complétement démuni-antioxydant. La Vitamine C va très rapidement
éteindre les
incendies. C'est un antioxydant puissant. Elle protège tout ce qui est
la phase
aqueuse du corps, donc l'intérieur des cellules. Donc cette Vitamine C
est une
barrière et un protecteur majeur des cellules contre les attaques des
oxydants
et les globules blancs en ont également besoin pour ne pas exploser
quand ils
arrivent sur le champ de bataille.
Dr.
Claude
Lagarde: Dans certaines
maladies, la Vitamine C
nécessite d'être apportée à fortes doses. Ce n'est pas très facile de
prendre
par la bouche de fortes doses, et on a, depuis longtemps déjà, imaginé
la
possibilité d'injecter la Vitamine C, ce qui va booster l'organisme.
Narrateur:
Face aux
Coronavirus, les injections à haute dose de
Vitamine C auraient peut-être pu sauver la vie de nombreuses personnes
gravement atteintes. Ce traitement bon marché et sans aucun danger n'a
pour
autant trouvé aucun écho dans les médias. Le Dr. Pierre Kory est
spécialiste de
la médecine de soins intensifs aux États-Unis. Il appartient à un
groupe
constitué de cinq experts tous rassemblés autour du Pr. Marik, l'un des
pionniers de l'utilisation de la Vitamine C en injection. Le Dr. Kory
nous a
reçus chez lui, à Madison, dans le Wisconsin, pour nous raconter
comment il a
découvert ce traitement et pour partager avec nous les incroyables
résultats
des injections de Vitamines C sur des patients admis en soins intensifs
pour le
Coronavirus, et cela dans l'indifférence générale des autorités
sanitaires.
Dr.
Pierre Kory: Le travail que
j'ai fait avec la Vitamine C, ou ce que
j'appelle l'acide ascorbique, est basé sur la découverte qu'a faite mon
ami et
collègue, le Dr. Paul Marik. Des études déjà publiées avaient montré
que des
doses élevées d'acide ascorbique en intraveineuse seraient très
bénéfiques pour
traiter les patients atteints de chocs septiques. Il l'a essayé sur
deux
patients extrêmement malades, qui s'étaient présentés à son hôpital et
il a
décrit que leur état physiologique s'était amélioré de façon très
soudaine et
abrupte. Cela l'a donc fortement intéressé, et il a mené une étude dans
laquelle il a traité la cinquantaine de patients suivants qu'il a
reçus, qui
souffraient d'infections sévères, et il a remarqué à chaque fois que
ces
patients se rétablissaient du jour au lendemain. Il a donc publié son
expérience avec ces 50 patients en la comparant avec les 50 patients
qu'il
avait traités avant eux, sans utiliser la Vitamine C en intraveineuse.
Et ce
qu'il a montré, c'était une diminution spectaculaire du taux de
mortalité. Une
grande quantité de patients survivaient, avec beaucoup moins de
défaillances
des organes, ils n'avaient pas d'insuffisances rénales, ils n'avaient
pas
besoin de dialyse. Je n'avais jamais entendu parler d'un médicament
capable
d'améliorer le taux de survie des patients de façon aussi significative.
Narrateur:
Impressionné par
les résultats obtenus par le Dr. Marik,
Pierre Kory décide d'appliquer son protocole.
Dr.
Pierre Kory: J'ai essayé cela
sur un patient qui venait d'arriver
dans mon unité de soins intensifs. Il était extrêmement malade. C'était
un
patient qui n'avait aucun système immunitaire. Comme il était en train
de
recevoir une transplantation de la moelle osseuse, il avait terminé
toutes ses
séances de chimiothérapie. Il n'avait plus aucun globule blanc, et son
état se
détériorait rapidement. Ce que j'ai vu avec cet homme, c'est qu'en
l'espace de
deux ou trois heures, son état s'est stabilisé, et au bout de six
heures
environ, ses reins se sont remis à fonctionner, sa tension artérielle
s'est
normalisée, son état mental s'est amélioré, il a pu parler plus
clairement.
Quand je suis rentré chez moi ce soir-là, je n'arrêtais pas de penser à
lui, et
à la puissance de ses réactions aux traitements. Et quand je suis
arrivé au
travail le lendemain matin, il était en train de prendre son petit
déjeuner en
discutant avec sa femme et on s'apprêtait à le sortir des soins
intensifs pour
le ramener à l'étage où il était normalement. Et depuis ce moment-là,
j'ai
réalisé beaucoup de travaux dans ce domaine. J'ai mené ma propre étude,
et je
dirais que ce que mon étude ajoute aux publications existantes, ce que
j'ai
découvert en utilisant cette approche dans mon propre service de soins
intensifs, c'est que les effets de la Vitamine C en intraveineuse et
les
réponses qu'elle produit, dépendent entièrement du moment où elle est
administrée. Il faut l'administrer très rapidement après l'arrivée du
choc
septique, de préférence aux urgences ou très tôt dans l'unité de soins
intensifs.
Narrateur:
Fort des
résultats spectaculaires obtenus avec la
Vitamine C sur des patients victimes d'un choc septique, les Docteurs
Paul
Marik et Pierre Kory vont appliquer leur protocole sur des malades
atteints de
la Covid-19. Les résultats obtenus confirment leurs prévisions.
Dr.
Pierre Kory: Puisque nous
savons, et c'est la conviction que je
partage avec mes collègues, que la Vitamine C fonctionne dans les cas
de chocs
septiques ou de septicémie, devrions-nous en déduire qu'elle peut
fonctionner
aussi dans les cas de Covid ou de difficultés respiratoires liées à la
Covid.
Oui, absolument. Au stade où j'en suis aujourd'hui, nous avons déjà un
essai
randomisé contrôlé et un essai rétrospectif qui montrent tous les deux
les
effets très bénéfiques de la Vitamine C à haute dose, dans des cas
d'insuffisances respiratoires liées à la Covid. Donc je ne comprends
pas la
décision de ne pas utiliser ce traitement. Il est sans danger, peu
couteux. De
nombreuses données montrent qu'il fonctionne très bien sur les lésions
pulmonaires, comme les pneumonies ou le syndrome de détresse
respiratoire
aigüe. Donc on devrait l'utiliser.
Narrateur:
L'efficacité des
injections de Vitamine C est observée
aux quatre coins du monde. Pourtant, aussi incroyable que cela puisse
paraître,
certains médecins snobent ce puissant outil thérapeutique.
Dr.
Pierre Kory: Selon un
article, on a estimé qu'entre 15 et 20% des
médecins aux soins intensifs l'utilisaient. Pourquoi n'y en a-t-il pas
plus?
C'est une question à laquelle j'ai beaucoup réfléchi et à mon avis, il
y a
peut-être trois raisons à cela. Premièrement, il s'agit d'une vitamine,
et par
rapport aux vitamines, depuis longtemps, dans la médecine allopathique
professionnelle il y a un énorme parti pris contre les vitamines. Donc
en tant
que médecin, promouvoir des vitamines est considéré comme non
scientifique et
inconvenant. Deuxièmement, il y a un malentendu au sujet de la nature
du
traitement. Il ne s'agit pas juste de donner quelques comprimés de
Vitamine C
aux patients. Et troisièmement, il y a cette obsession de faire des
essais
randomisés et contrôlés pour apporter des preuves définitives. Et ce
qui me tue
vraiment, c'est que ces essais existent et démontrent que la Vitamine C
en
intraveineuse a eu des effets bénéfiques sur le taux de survie. Et
malgré cela,
les médecins continuent de ne pas l'utiliser parce que l'essai est trop
modeste, parce qu'il faut en faire un plus grand, etc. Ce parti pris
influence
énormément la façon d'interpréter des données pourtant scientifiques.
6-
La peur et le stress: Néfastes à notre système
immunitaire
Narrateur:
Si le Zinc, la
Vitamine C ou encore la Vitamine D, ont
démontré qu'ils étaient de réels traitements pour les malades du
Coronavirus,
ils sont aussi comme d'autres micronutriments essentiels d'une
incroyable
efficacité en prévention pour améliorer nos défenses immunitaires. Car
plus
notre terrain est solide, moins le virus est dangereux.
Dr.
Éric Ménat: J'ai toujours
aimé la formule de Béchamp "Le
microbe n'est rien, le terrain et tout." Il n'y a pas un
exemple plus
beau que la Covid-19 pour illustrer cette phrase. Parce que, vous vous
rendez
compte quand même que, le même virus va, chez certains donner rien;
aucun
symptôme, les gens font l'infection sans strictement aucun symptôme et
ils ne
savent pas, et d'autres meurent. C'est le même virus. Donc on ne peut
pas dire
que la gravité est liée au virus. Ce n'est pas possible puisque si la
gravité
était liée au virus, tout le monde aurait une maladie grave, plus ou
moins,
bien sûr. Là, ça va de rien, à la mort, pour le même virus. Donc c'est
bien une
histoire de terrain. "Le microbe n'est rien, le terrain est
tout."
Et donc, si on stimulait cette immunité de nos patients, est-ce qu'ils
n'auraient pas des chances d'être moins malades? Mais à aucun moment,
on a dit
aux français "Stimulez votre immunité."
Narrateur:
L'absence de
conseils préventifs est d'autant plus
délétère que les confinements et la communication anxiogène des
autorités, ont
impacté le moral de la population.
Dr.
Éric Ménat: Ce qui me rend
le plus en colère aujourd'hui dans cette
histoire de pandémie, c'est la peur que l'on a introduit chez la
plupart de nos
concitoyens.
Extrait
d’un
Journal TV:
[Homme
politique
français: Plus
que jamais,
la
pandémie de Covid-19 est active et meurtrière.]
Dr.
Éric Ménat: On a joué avec
cette peur, on l'a entretenue et elle est
dramatique à beaucoup de niveaux. On le sait tous, le stress fait
chuter le
système immunitaire. Ceux qui font de l'herpès le savent: Un gros
stress, le
bouton d'herpès sort. Pourquoi un bouton d'herpès sort? Parce que le
système
immunitaire a chuté. C'est connu de tout le monde, c'est incontestable.
Dr.
Dominique
Baudoux: Nos défenses
naturelles qui ont besoin d'être
remontées parce qu'on est en face d'un virus, se trouvent être au
contraire
amenuisées, affaiblies par, je dirais, la sinistrose, le
catastrophisme, la
panique, qui se retrouvent sur toutes les chaînes de télé, dans tous
les médias
qui ne cherchent qu'à faire du sensationnalisme.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: On l'a vu, celui
que
j'appelle le "croque mort officiel de la DGS", le
Professeur
Salomon qui venait tous les jours égrainer ces chiffres, quand même…
c'était
redoutable la manière dont il balançait ça.
Dr.
Éric Ménat: Quand on nous
donne le nombre de morts, pourquoi ne pas
dire: "Ces gens qui meurent, ils étaient hospitalisés depuis
un mois et
demi; ces gens qui meurent, ils ont tel âge, ils ont telles
comorbidités, ils
sont très obèses ou ils ont…" En entretenant la peur dans la
population, je pense qu'on a au contraire aggravé les risques
sanitaires,
plutôt que le contraire.
Dr.
Claude
Lagarde: Le stress est
une agression psychologique,
une peur, ou alors elle est chronique parce qu'on y pense tous les
jours à ce
problème de virus et le stress met en branle des mécanismes de réponses
aux
agressions qui a tendance à nous carencer en certains micronutriments,
en
certaines molécules de la vie. Donc le stress concourt à nous carencer
en
Magnésium, en Zinc, en d'autres substances minérales essentiellement.
Il nous
carence parce qu'il hyper-consomme certains nutriments. Donc si on n'a
pas
apporté l'équivalent tous les jours dans son alimentation, le stress va
nous
vider petit à petit de certaines réserves.
Narrateur:
Stress,
isolement, manque de soleil, l'immunité de la
population, déjà fragilisée, n'a en plus pas pu bénéficier de la part
des
autorités sanitaires de conseils avisés sur les gestes préventifs
simples qui
lui aurait permis d'optimiser ses défenses naturelles.
Dr.
Éric Ménat: Le Pr. Toussaint
l’a très clairement dit dans plusieurs
de ses inventions: Interdire aux gens de sortir et leur interdire de
faire du
sport est une aberration scientifique, parce qu'on réduit leur
immunité, alors
que le sport augmente l'immunité.
Extrait
d’un
Journal TV:
[BFM
TV: On a
beaucoup
d'exemples,
mais il y a un qui m'a frappé le plus, c'est la petite femme âgée de 93
ans à
Biarritz, qui voulait nager pour soigner sa neuropathie, donc une
maladie
vraiment douloureuse des jambes, et qui a été empêchée par, je pense
quatre
policiers, d'aller nager. Donc ça c'est une énorme absurdité. En plus
c’est
contre-productif, parce que le sport ça renforce évidemment les
défenses
immunitaires.]
7-
Que ton alimentation soit ta première médecine
Narrateur:
L'Angleterre n'a
pas non plus été exemplaire face à la
première épidémie, mais quand son Premier Ministre Boris Johnson a été
admis en
soins intensifs, après avoir été frappé par la Covid-19, il a compris
l'importance de faire de la prévention. En juillet 2020, il intervient
publiquement pour recommander aux britanniques de perdre du poids dans
le cadre
d'un plan de lutte contre l'obésité: "Perdre du poids est
très
clairement l'un des meilleurs moyens de réduire les risques liés aux
Coronavirus." Des mesures radicales ont été prises au plus
haut niveau
pour sensibiliser la population britannique sur les conséquences
délétères de
l'alimentation transformée, comme par exemple interdire aux
supermarchés de
promouvoir des articles considérés comme étant de la malbouffe ou
encore
interdire les publicités télévisées pour les produits riches en sucre
avant
21h. En France, pas un mot.
Dr.
Jean-Jacques
Erbstein: Le sucre, c'est
une
catastrophe. Arrêtez de manger du sucre. Il y a du sucre partout. Et
dans 70%
des cas, vous mangez du sucre, vous ne vous en rendez même pas compte.
C'est
quelque chose d'épouvantable pour l'immunité, pour la peau, pour tout
ce genre
de chose.
Dr.
Claude
Lagarde: Aujourd'hui sur
la planète, c'est le sucre qui
tue le plus des gens et de loin devant toute autre maladie, y compris
les
virus. L'excès de sucre vous intoxique sur plusieurs années. Vous
finissez
diabétiques, hypertendus. Le sucre est hyper consommé, beaucoup trop.
Dr.
Vincenzo
Castronovo: Or, on a montré
que si on
énumérait comme on le fait pour les victimes des Sars-Cov2, le nombre
de morts
par jour et bien les gens seraient absolument paniqués à avoir une
cannette de
coca, puisque on sait que, et ça a été dit d'une étude sérieuse publiée
par
l'Université de Stanford, le département d'épidémiologie, que le sucre
mondialement tue une personne par seconde dans le monde. Une personne
par
seconde dans le monde. Ça fait plusieurs milliers par jour, et ça on
n'en parle
pas. Donc vous devez savoir que, notamment au niveau des communautés
européennes, l'industrie du sucre dépense 3 milliard de dollars par an
pour le
lobbying, pour ne pas que des décisions contre les industries qui
mettent du
sucre prennent des décisions, notamment pour l'étiquetage. Quand on
vous dit
ça, vous avez tout compris.
Narrateur:
Face au
Coronavirus, une bonne hygiène alimentaire peut
faire toute la différence. C'est ce que le Dr. Aseem Malhotra a déclaré
dans le
journal European Scientist: "Le grand public doit
être informé
immédiatement qu'il lui faut réduire le sucre, les glucides
transformés, et la
malbouffe, et se mettre à consommer des produits bruts, riche en
légumes,
fruits, noix, graines, avec beaucoup de protéines, de légumineuses, de
poissons, viandes, œufs, pour améliorer sa santé en quelques semaines
et
l'aider à se protéger contre le nouveau Coronavirus."
Dr.
Claude
Lagarde: Pourquoi ne
conseille-t-on pas aux gens de se
prémunir, de leur donner des conseils alimentaires pour prévenir des
désordres
et des pathologies? Je pense tout simplement que c’est parce que dans
les
études de médecine, on n'apprend pas la santé aux futurs médecins. On
leur
apprend à faire des bons diagnostics, concédant souvent d'explorations
coûteuses: Des radios, des analyses de laboratoire, des scanners etc.
Et on arrive
à des diagnostics, mais avec un diagnostic, on a un traitement. Donc le
médecin, il pense que son rôle, c'est de diagnostiquer et de traiter.
Alors
qu'il devrait être la première personne qui s'occupe de prévention.
Narrateur:
400 ans avant
notre ère, Hippocrate, le père de la
médecine, disait: "Que ton alimentation soit ta
première
médecine." Depuis, la biologie et la technologie
sont passées par
là et ont permis d'observer que chaque rouage du système immunitaire
fonctionne
grâce à des nutriments particuliers que notre alimentation est censée
nous
apporter. Ainsi, armé avec de bonnes munitions, notre système
immunitaire
dispose de l'arsenal idéal pour combattre une multitude de menaces,
tels que
les bactéries, les champignons, les parasites ou encore les virus.
Dr.
Éric Ménat: Puisque
l'intestin contient 60% de nos cellules
immunitaires, vous comprenez bien que l'alimentation joue un rôle
majeur sur
notre immunité.
Narrateur:
Seulement, de
nos jours, l'alimentation est souvent trop
riche en calories et trop faible en nutriments essentiels, même lorsque
l'alimentation est équilibrée. C'est pourquoi pour de plus en plus de
professionnels de la santé, la micronutrition apparaît comme une
solution
préventive particulièrement efficace contre les virus.
Dr.
Claude
Lagarde: Notre organisme
est une véritable usine
chimique qui fabrique des hormones, des anticorps, des quantités de
molécules,
des tissus, des muscles, des organes. Tout se fait par de la chimie
interne, ce
qu'on appelle de la biochimie. Et cette biochimie, nécessite des
substances que
nous devons manger absolument, donc protéines, acides aminés, acides
gras
polyinsaturés, vitamines – toutes les vitamines – oligoéléments, qui
sont des
catalyseurs. Sans eux, les milliards de réactions chimiques dans
l'organisme ne
peuvent pas bien se réaliser. La micronutrition, c'est un moyen de
restaurer le
bon fonctionnement de l'organisme, c'est apporter donc des nutriments à
l'état
de traces parce que "micronutriments", pour corriger ses défaillances.
Dr.
Vincenzo
Castronovo: La plupart de
mes
patients ont des carences sévères en Oméga 3, des carences en Sélénium,
en
Vitamine D. Je me rappelle de ce patient qui a un cancer du pancréas
qui est
venu me voir parce qu'il désespérait parce qu'en fait, quand on vous
dit que
vous n'en n'avez plus que pour trois mois à vivre, soit vous acceptez
et vous
allez faire votre testament, soit vous essayez de voir s'il n'y a pas
une
alternative. Et ce patient à qui on avait dit "vous êtes inopérable",
a voulu quand même faire quelque chose. Son bilan nutritionnel était
catastrophique, on l'a corrigé. Il a pu avoir une chimiothérapie, la
tumeur a
régressé, on a pu l'opérer, et il est en rémission complète. Et donc
l'approche
est très efficace, lorsque vous adressez le patient comme personne
unique et
que vous envisagez tous les nutriments et que vous corrigez de manière
personnalisée. Et quand vous faites ça, vous avez des résultats
remarquables.
La situation des maisons de retraite ou comme vous appelez en France
EHPAD, est
assez révélatrice et caricaturale de la situation de société. Les
personnes
âgées, en moyenne plus de 80 ans, ont été les premières victimes et
restent les
premières victimes de cette infection à virus Sars-Cov2 Covid-19, ce
qui est
révélateur de leur état micronutritionnel détestable et complétement
carencé.
On a des moyens efficaces, qui sont de corriger le taux de Vitamine D,
le taux
de Zinc, le taux d'antioxydants, et c'est ça qui est un peu
interpellant.
Pourquoi, alors que cela est connu, est-ce qu'on ne le propose pas aux
patients?
8-
Phytothérapie et Aromathérapie (Traitements à base
d'extraits de plantes)
Narrateur:
Cette omerta
s'exerce également sur les nombreuses
autres solutions naturelles à notre disposition. C'est le cas notamment
des
traitements fondés sur les extraits de plantes et les principes actifs
naturels, plus communément appelée la phytothérapie.
Dr.
Vincenzo
Castronovo: La plupart des
médicaments ont été inspirés à partir de plantes. Le problème c'est que
les
plantes ne sont pas vénales, n'ont pas profité de leurs inventions.
Donc que
fait Big Pharma? Elle prend la molécule, elle la modifie, elle la rend
unique,
elle la brevette et elle peut la vendre au plus haut prix, puisqu'elle,
elle
est protégée.
Dr.
Christian
Perronne: La
phytothérapie, c'est une stratégie
merveilleuse que j'ai découvert à travers les malades, je n'ai pas
appris ça à
l'école de médecine, bien entendu. Le gouvernement chinois, quand il y
a eu le
Covid, a été intelligent. Ils ont vu qu'ils étaient un peu débordés au
début,
bon certes ils ont trouvé l'Hydroxychloroquine en cours de route, mais
ils ont
fait appel à la médecine traditionnelle chinoise. Et qu'ont donné les
médecins
chinois? Beaucoup d'Artémisia. Ça a marché. Après, ça été exporté en
Afrique,
ça a marché remarquablement. On s'est moqué du Président de Madagascar
et
d'autres pays qui ont donné de l'Artémisia partout dans les écoles. Il
n'y a
pratiquement pas eu de Covid et il n’y a pratiquement pas eu de morts.
Dr.
Éric Ménat: Il y en a
d'autres: Scutellaria. Scutellaria a prouvé
son efficacité sur le Coronavirus lui-même. Son efficacité, je dis bien
en
prévention. Seul, ça ne guérit pas la maladie, mais en prévention on a
une
réduction des infections à Coronavirus grâce à Scutellaria.
Dr.
Vincenzo
Castronovo: Beaucoup
d'extraits de
plantes ont un intérêt parce que ce sont des molécules qui vont limiter
l'inflammation.
Narrateur:
Boudées, voir
discréditées par une bonne partie du monde
médical et scientifique, la phytothérapie mérite pleinement de
retrouver ses
lettres de noblesse. Le 19 septembre 2020, l’OMS a approuvé la mise en
place
d'un protocole pour des essais cliniques concernant les traitements de
phytothérapie pour la Covid-19. Les débats scientifiques sur
l'Artémisia, les
Margousiers ou encore la Vernonie pourraient ainsi retrouver leur place
légitime.
Dr.
Éric Ménat: À côté de la
phytothérapie, vous avez l'aromathérapie.
Vous avez le plus grand antiviral probablement que la nature ait créé,
qui est
le Ravintsara. Cette huile essentielle qui vient de Madagascar est
d'une
puissance extraordinaire et on a des publications claires là-dessus.
C'est un
antiviral puissant qui touche justement beaucoup les virus, on va dire
des
familles du Coronavirus, et c'est un immunostimulant.
Narrateur:
Le Ravintsara
est en effet une huile essentielle
emblématique de l'aromathérapie. Son efficacité sur les virus est bien
connue
du grand public. Pour preuve, elle a été en rupture de stock pendant
plusieurs
semaines en France durant l'épidémie.
Dr.
Dominique
Baudoux: Le domaine de
prédilection des huiles
essentielles, c'est l'infectiologie; donc toute pathologie qui aura
généré ou
qui va se marquer, se traduire par une infection, que l'infection soit
bactérienne, fongique, parasitaire ou virale.
Narrateur:
Le secret de
l'efficacité d'une huile essentielle réside
dans le fait qu'elle est constituée d'innombrables molécules augmentant
ainsi
son champ d'action et son efficacité face aux intrus. Cette spécificité
fait de
l'aromathérapie une discipline très prometteuse pour résoudre l'un des
défis
sanitaires majeurs des années à venir: L'antibiorésistance. Selon
l'OMS, d'ici
2030 les antibiotiques ne seront plus efficaces sur bon nombre de
bactéries,
avec des conséquences catastrophiques pour notre santé.
Dr.
Dominique
Baudoux: Dans le monde,
on parle de plus de 500 000
décès rattachés à ce phénomène d'antibiorésistance. C'est un défi
incroyable
pour le monde pharmaceutique qui n'est plus parvenu sur ces quinze
dernières
années à créer un nouvel antibiotique innovant qui aurait pu détruire
le
microbe. Il n'y a pas de réponse actuelle. Si, il y en a une, bien sûr.
En
mélangeant une huile essentielle avec un antibiotique, on rend à
l'antibiotique
son efficacité sur le microbe qui lui résistait précédemment, parce que
l'huile
essentielle a été ouvrir des portes dans le biofilm dans lequel le
microbe se
sentait réfugié, comme entouré d'un rempart. Et c'est ça que l'huile
essentielle offre. Maintenant, l'huile essentielle choisie, a elle-même
une
activité antibactérienne qui lui permet de ne pas être simplement un
ouvre-porte à l'antibiotique.
Narrateur:
Les mécanismes
d'action des huiles essentielles sont
nombreux, ce qui en fait des armes particulièrement utiles contre les
nouvelles
menaces comme le Coronavirus.
Dr.
Dominique
Baudoux: Chaque classe de
molécules, composant des
huiles essentielles, peut avoir une activité différente sur le virus.
On va par
exemple détruire l'enveloppe du virus, et le virus forcément va mourir.
On peut
attaquer son ADN, son ARN, et donc forcément provoquer la mort du
virus. On
peut aussi empêcher que le virus n'adhère à la paroi de la cellule pour
pénétrer la cellule et créer la pathologie.
Narrateur:
Pourtant, malgré
toutes ces actions avérées pour faire
face aux microbes et au virus, l'aromathérapie est régulièrement
discréditée
dans les médias, particulièrement durant l'épidémie de Coronavirus.
Pourquoi un
tel discrédit alors que dès 2008, on savait qu'une huile essentielle,
le
laurier noble avait une activité in vitro contre le virus Sars-Cov,
responsable
de l'épidémie de SRAS en 2003? Pourquoi ne pas avoir immédiatement
testé les
huiles essentielles contre le Sars-Cov2?
Dr.
Dominique
Baudoux: Nous nous
heurtons à un scepticisme d'un
monde médical qui ne peut pas croire que ces huiles essentielles aient
un
intérêt thérapeutique.
Dr.
Éric Ménat: Si vous ne
pouvez pas breveter une molécule, vous ne
ferez jamais d'études dessus. C'est pour ça qu'il n'y a pas d'études
sur la
phytothérapie, c'est pour ça qu'il n'y a pas d'étude sur l'homéopathie,
c'est
pour ça que l'Hydroxychloroquine n'a pas été mise en avant.
Dr.
Dominique
Baudoux: Si on parle de
l'Hydroxychloroquine, si on
parle de la Colchicine, si on parle d'autres molécules naturelles ou
synthétiques comme la Vitamine C, cela ne fait pas vivre des
actionnaires de
l'industrie pharmaceutique. Et pour l'industrie pharmaceutique, il faut
du
nouveau. Et l'innovation, cela se paie, cher.
Narrateur:
L'épidémie de la
Covid-19 a révélé les failles de notre
système de santé. Le modèle économique de l'industrie pharmaceutique
basée sur
des nouvelles molécules vendues à prix d'or a révélé ses limites, ses
dangers,
mais aussi ses dérives. Notre santé, notre bien le plus précieux, est à
la
merci d'un écosystème où la santé des actionnaires prévaut sur celle de
la
population. Cette crise pandémique constitue une opportunité sans
précédent
pour qu'individuellement nous reprenions notre santé en main et que
collectivement nous nous unissions pour changer de paradigme, afin que
les
solutions naturelles retrouvent leurs lettres de noblesse. Ceci afin
que le
bien-être et la santé du patient soit au centre de toutes les priorités.
Dr.
Christian
Perronne: Pour réformer le
système de santé, il
faudrait vraiment séparer le monde de l'argent et le monde des
médecins, faire
un coup de balai dans toutes les agences d'évaluation, avec des vraies
évaluations pour le coût des conflits d'intérêts de chacun. Déjà, ce
serait une
bonne base pour repartir.
Dr.
Dominique
Baudoux: La santé, c'est
le fondement du bonheur et je
veux bien parier sur les futures générations de pharmaciens et des
médecins,
qui, avec un retour au manger sain, au vivre sain, il y aura une
volonté de se
soigner sain.
Dr.
Claude
Lagarde: Je pense qu'il
faut du bon sens dans la vie,
et la médecine est un art et pas une science. Nous sommes tous
différents et
c'est là que le médecin traditionnel, qui a de l'expérience, est
fondamental.
Dr.
Vincenzo
Castronovo: Les origines de
la santé
c'est quoi? C'est avoir un tube digestif qui fonctionne bien, avoir un
bon
microbiote, apporter à notre système immunitaire les justes molécules
en
proportion et en qualité, qui lui permet d'agir de manière efficace.
Parce que
lorsque ce système immunitaire est normal et est alimenté correctement,
c'est
un système d'une efficacité remarquable.
Dr.
Dominique
Baudoux: Nous sommes dans
une médecine intégrative. On
ne veut pas avoir notre seule vérité. On a notre vérité, comme d'autres
ont
leur vérité, et ensemble, en nous associant nous serons tellement plus
forts,
tellement meilleurs pour la santé du patient.
Dr.
Éric Ménat: En conclusion,
vraiment je veux insister sur cette
notion de diversité. Réellement, je crois qu'à la fois des décideurs,
des
experts, le grand public, mes confrères, doivent comprendre que rien
n'est plus
riche que notre diversité, et que la pensée unique n'a rien à faire en
médecine. Et réellement je crois au plus profond de moi, que la pensée
unique
c'est la mort, la diversité c'est la vie. Donc je veux vraiment que
tous
ensemble on choisisse la vie.
[Fin du
Documentaire]
Comme
vous venez
de le lire, la prétendue Pandémie du
Covid-19 est un gros mensonge organisé et entretenu par les satanistes
qui
dirigent le monde, avec à leur tête le petit démon de l'Enfer qui
dirige la
France. C'est d'ailleurs pour cela qu'il est venu dans ce monde, et
c'est pour
cela qu'il a été élu. Il est venu du monde satanique avec pour mission
d'accélérer l'implantation du règne de celui que la Bible appelle
l'antéchrist.
Vous comprenez donc pourquoi la France est en même temps le
pays qui a créé
ce Covid-19, (vous en avez eu la preuve après avoir lu
l'enseignement
intitulé "Vaccin Covid-19: Projet d'un Génocide
Planétaire"),
le pays le plus zélé et le plus agité dans la mise en œuvre de la
reconnaissance du Covid-19 comme pandémie, et aussi le pays le plus
brutal et
le plus barbare dans la répression contre tous ceux qui oseraient ne
pas
observer à la lettre les mesures de restriction idiotes et totalement
débiles
que ce démon et sa bande imposent aux populations.
Le
confinement,
les mesures
barrières et les masques n'ont aucune utilité pour l'homme.
Les
scientifiques non corrompus l'ont démontré. Pour en savoir plus,
veuillez lire
l'Enseignement intitulé "Les Masques et les Gestes
Barrières sont
Inutiles" qui se trouve sur le site
www.mcreveil.org dans le menu
Santé. Toutes les mesures abominables prises pour soi-disant combattre
une
pandémie qui n'existe pas, ont été prises pour détruire l'homme, sur
tous les
plans: sur le plan spirituel, sur le plan économique, sur le plan
sanitaire,
sur le plan social, et sur le plan familial. Nous développerons ce
sujet dans
un autre enseignement.
L'antéchrist
français avait annoncé dès le début de cette
supposée pandémie, que la France était en guerre. Certains avaient pris
cela
pour une simple parole, alors qu'en réalité, il révélait un secret que
seuls
les gens avertis pouvaient comprendre. Et depuis lors, l'armée, la
gendarmerie
et la police françaises sont mobilisées comme si la France était
réellement en
guerre. La guerre contre qui? Contre tous ceux qui feront preuve de bon
sens,
et qui trouveront absurde de se soumettre au plan du contrôle du monde
par
lucifer. L'armée, la gendarmerie et la police déployées, ont pour seule
mission
l'intimidation et la répression sauvage du peuple. C'est cela la guerre
que ce
petit luciférien avait solennellement annoncée en début de leur
pandémie
fictive; une guerre contre le peuple.
Comme
vous venez
de le lire, il a interdit tout
médicament pouvant guérir facilement et rapidement tous les malades de
cette
grippe pompeusement appelée Covid-19 et érigée en pandémie, et a imposé
aux
médecins des poisons qui tueront des innocents par milliers. Le but
recherché
est d'une part, d'offrir à satan de nombreux sacrifices humains pour
asseoir
son pouvoir et son règne, et d'autre part, de faire triompher le règne
de la
terreur, avec l'imposition des mesures sataniques telles le
confinement, le port
du masque, les gestes barrières, et autres distanciations sociales,
pour
arriver au couronnement qui est le Vaccin satanique qui transformera
tous les
humains en zombies.
Comme
vous venez
de l'apprendre dans ce documentaire, ce
fils du diable est en guerre contre tous les médecins et chercheurs
honnêtes et
sérieux qui n'ont pour désir que de soigner les malades. Il a réussi à
contaminer et à adhérer à son funeste projet, les autres dirigeants du
monde,
qui, même sans trop comprendre ce qui se passe, sont obligés de le
suivre tels
des moutons.
Pour
ce qui
concerne le Coronavirus en tant que maladie,
retenez qu'il n'est en rien différent des autres grippes; il est
curable,
c'est-à-dire guérissable. Le Président Andry Rajoelina
de Madagascar
vous l'a démontré; le Professeur Didier Raoult de
Marseille en France,
vous l'a démontré, beaucoup d'autres médecins et chercheurs Africains
et
Occidentaux sérieux, vous l'ont démontré; les Naturopathes Africains
vous l'ont
démontré. Ne vous laissez donc plus intimider par ces agents de l'Enfer
qui
sont en train de mettre en place, sous vos yeux, le gouvernement
mondial de
lucifer, que la Bible appelle le règne de l'antéchrist.
L'un
des
principaux buts recherchés par les vampires qui
ont créé ce Covid-19 était la destruction totale de l'Afrique. Ces
démons
étaient convaincus que la population africaine devait être décimée par ce
virus fabriqué en France par l'Institut Pasteur.
Leurs prévisions pour
le nombre de décès en Afrique se chiffraient en dizaines de millions.
Mais leur
confusion est totale, comme vous pouvez le constater. Ces serpents
n'arrivent
pas à comprendre ce qui se passe exactement. Ils ne comprennent pas
pourquoi
leur plan dont les chances de succès étaient pratiquement de 100%, a
échoué.
Nous vous en parlerons dans un autre enseignement. Nous vous
expliquerons même
pourquoi ils ont entretemps essayé de changer l'article du Covid-19, du
masculin au féminin. Ils demandent aux gens maintenant de ne plus dire LE
Covid-19, mais plutôt LA Covid-19. Ne suivez pas
cette folie; la raison
est ailleurs.
Face
au Coronavirus,
comme face aux autres maladies dont
souffre la population, une bonne hygiène alimentaire est la solution.
Ce point
a été bien développé dans un enseignement que nous avons intitulé "Maladie et
Alimentation",
que vous
trouverez sur le site www.mcreveil.org, dans la rubrique Santé. Ne
tombez donc
pas dans le piège de prendre ce poison appelé Vaccin contre le
Covid-19. Si
vous le prenez, vous vous lierez pour toujours.
Dans
les
prochains jours, nous ferons un autre
enseignement vous montrant de manière élaborée, les implications
spirituelles
de ce vaccin satanique. Et si vous êtes de ceux qui ne croient pas en
Dieu,
retenez que tous les scientifiques sérieux, qui n'ont rien à voir avec
Dieu ou
avec la religion, vous disent qu'aucun vaccin n'a jamais été fait en si
peu de
temps, comme cette supercherie que les démons ont fabriquée en quelques
semaines, sans aucun test sur les animaux comme c'est souvent le cas.
Tous ces chercheurs
et médecins sérieux et honnêtes, sont donc unanimes sur le fait que ce
vaccin
est extrêmement dangereux, et cache un agenda qu'ils ignorent. C'est de
cet
agenda caché que nous parlerons dans un enseignement exposant
l'implication
spirituelle de ce vaccin. La Bible en a parlé il y a plusieurs
centaines
d'années. En attendant, retenez cet ultime conseil: Si
vous tenez à votre
vie, ou à votre salut, ou aux deux, n'acceptez pas ce vaccin satanique
appelé
Vaccin anti Covid-19.
Que la grâce
soit
avec tous ceux qui
aiment notre Seigneur
Jésus-Christ d'un amour inaltérable!
Chers frères et sœurs,
Si vous avez fui les fausses églises et voulez savoir ce que vous devez faire, voici les deux solutions qui s'offrent à vous:
1- Voyez si autour de vous il y a quelques autres enfants de Dieu qui craignent Dieu et désirent vivre selon la Saine Doctrine. Si vous en trouvez, sentez-vous libres de vous joindre à eux.
2- Si vous n'en trouvez pas et désirez nous rejoindre, nos portes vous sont ouvertes. La seule chose que nous vous demanderons de faire, c'est de lire d'abord tous les Enseignements que le Seigneur nous a donnés, et qui se trouvent sur notre site www.mcreveil.org, pour vous rassurer qu'ils sont conformes à la Bible. Si vous les trouvez conformes à la Bible, et êtes prêts à vous soumettre à Jésus-Christ, et à vivre selon les exigences de Sa parole, nous vous accueillerons avec joie.
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec vous!
Source & Contact:
Site Internet: https://www.mcreveil.org
E-mail: mail@mcreveil.org