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COVID-19:
LES MASQUES ET LES
GESTES BARRIÈRES SONT INUTILES
Chers
frères et
chers amis, nous voulons mettre à votre
disposition la transcription d'une interview que le coach en santé
naturelle, Jérémie Mercier,
a faite
au Chercheur canadien, le Professeur Denis Rancourt au sujet des
masques et
autres soi-disant mesures barrières. Comme vous allez le constater, le
Professeur Rancourt a démontré l'inutilité totale des masques et des
soi-disant
gestes barrières. Il rejoint ainsi de nombreux autres Chercheurs qui ne
cessent
d'alerter le monde entier contre le plan diabolique des lucifériens
dirigeants
de ce monde, qui ont créé la pandémie du Covid-19 pour exterminer le
monde.
Retranscription
de
l’Interview
Jérémie
Mercier: Bonjour à tous,
bonjour à toutes! C’est Jérémie Mercier.
Aujourd’hui, je suis ravi d’accueillir le chercheur canadien Denis
Rancourt,
qui est chercheur à l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario et
qui a
écrit récemment un article qui a eu un énorme retentissement. C’est son
article
"Masks Don't Work", ça veut dire: "les masques ne fonctionnent
pas". Il parle donc des masques chirurgicaux ou des masques FFP2 que
les
gens aujourd’hui utilisent en espérant se protéger de l’infection
Covid.
Bonjour Denis Rancourt.
Denis
Rancourt: Bonjour, ça fait
plaisir d’être là.
Jérémie
Mercier: On va parler de
cette étude qui a fait beaucoup de
bruit. En quoi consistait cette étude? Et quelles ont été vos
découvertes?
Denis
Rancourt: Alors, j’ai fait
une revue des articles scientifiques.
Je suis allé chercher toutes les études comparatives qui ont été faites
de
façon rigoureuse, ce qu’on appelle en anglais des "randomized
controlled
trials" qui comparaient la probabilité d’être infecté par un virus qui
donne une maladie respiratoire quand on porte un masque versus quand on
ne
porte pas un masque. Et on a étudié deux types de masques: les masques
chirurgicaux et aussi les masques à très petits pores, que vous appelez
- je
pense - les FFP2.
Jérémie
Mercier: C’est ça, oui!
Denis
Rancourt: Et donc j’ai
regardé toutes ces études-là. Il y en a eu
beaucoup. Ça fait 5-10 ans qu’il y a eu plein d’études de ce type-là,
donc il y
a une littérature assez consistante et il y a même des études qui sont
des
méta-analyses des études comparatives. Et je me suis fié à toutes ces
études-là
où on vérifiait par une mesure de laboratoire qu’il y avait eu
effectivement
infection, versus se fier simplement à ce qu’on appelle le
"self-reporting" où on raconte un peu "oui, j’avais des symptômes,
ce genre de choses" parce que c’est bien établi que quand on le fait de
cette façon-là, c’est tellement biaisé que ça n’a aucune valeur. Donc,
je me
suis fié uniquement aux bonnes études rigoureuses. Il y en a eu
plusieurs et il
n’y en a aucune dans toutes les études… On ne voit aucun avantage par
rapport à
réduire le risque d’être infecté par une maladie virale respiratoire.
Jérémie
Mercier: Que ce soit avec
un masque chirurgical ou un masque
FFP2. On est d’accord?
Denis
Rancourt: Exactement, que
ce soit avec l’un ou l’autre. Et il y a
aussi des études qui ne comparent pas ce qui arrive sans masque, mais
qui
comparent les deux types de masques. Ces études-là aussi ne trouvent
aucune
différence d’un masque à l’autre, même si les masques sont très
différents
physiquement.
Jérémie
Mercier: Donc là j’ai
envie de dire: "c’est un tremblement
de terre", pour toutes ces personnes qui sont convaincus aujourd’hui de
l’utilité du masque parce que le gouvernement français et plein de
gouvernements dans le monde, pleins d’agences de santé recommandent le
port du
masque, voire l’obligent dans certaines circonstances.
Denis
Rancourt: Les études
scientifiques sont claires; il y en a eu
plusieurs des grandes études dans des milieux hospitaliers, de soins de
santé ou
aussi dans des milieux communautaires. Il n’y a aucune étude qui arrive
à
déceler un avantage quelconque par rapport à ce type de maladie-là
quand on
porte un masque, et en plus, c’est bien connu, la World Health
Organisation…
Jérémie
Mercier: L’Organisation
Mondiale de la Santé.
Denis
Rancourt: Voilà, ils le
disent clairement. Ils ne recommandent pas
qu’on utilise les masques dans un contexte public. Et ils disent
explicitement
qu’il n’y a aucune étude scientifique qui a démontré un avantage pour
de telles
situations. Alors, c’est clair et dans la littérature scientifique et
dans les
organismes internationaux les plus réputés. Il n’y a aucun avantage à
avoir un
masque dans une situation comme celle-là.
Jérémie
Mercier: Alors, deux
secondes, ça veut dire qu’il n’y a
pas d’avantage ni pour le public, donc les personnes qui veulent
éviter… les
citoyens lambda qui veulent éviter de se faire infecter. Mais il n’y a
pas non
plus d’avantages pour les soignants qui, en France, ont réclamé à cor
et à cri
des masques pour se protéger. Même pour eux, ça n’est pas efficace dans
leurs
conditions?
Denis
Rancourt: Je dirais même
surtout pour eux, parce que la majorité
des études ont été faites dans des milieux hospitaliers et des soins de
la
santé, où les gens… où ils traitent des patients, où il y a plein de
personnes
infectées avec toutes sortes de choses. Et il n’y a aucun avantage qui
peut
être décelé dans toutes ces études.
Jérémie
Mercier: Donc ça veut
dire que les soignants qui demandaient ces
masques en fait demandaient finalement une illusion de sécurité, c’est
ça?
Denis
Rancourt: Oui, et c’était
purement la politique du travail, si on
veut, de demander ces masques. Il n’y a pas… ce n’est pas basé sur une
étude
scientifique.
Jérémie
Mercier: D’accord, et il
n’y a aucune situation: les transports, les
boutiques, les écoles qui justifie le port du masque, donc?
Denis
Rancourt: Non!
C’est-à-dire que les études, toutes les études qui
ont été faites ne montrent aucun avantage. Maintenant, est-ce qu’ils
ont fait
une étude dans une école spécifiquement? Non. Vous voyez ce que je veux
dire?
Il y a tellement de circonstances, mais dans toutes les circonstances
où on a
pu le tester, que ça soit même chez les gens, dans des circonstances
communautaires, dans toutes les circonstances, ils n’ont trouvé aucun
avantage.
Alors ça, c’est la toute première chose. Après ça, deuxièmement, on
peut se
poser la question: "mais pourquoi, pourquoi est-ce que les masques ne
marchent pas?" Et ça, c’est une question différente et séparée. Il y a
le
résultat statistique rigoureux qu’il n’y a aucun avantage
statistiquement. Mais
après ça, il y a la question "mais comment est-ce qu’on peut comprendre
ça?" Et je pense qu’on ne peut poser cette question-là que si on a une
idée du mode de transmission de la maladie. Il faut connaître le mode
de
transmission pour pouvoir parler intelligemment de comment on peut
empêcher
cette transmission. Et ce qui s’est passé dans les dernières décennies,
c’est
qu’on a fini par comprendre la nature, précisément des transmissions de
ce type
de maladie-là. On sait maintenant, ça a été établi avec les travaux de
Shaman
et al. de 2010, que c’est des maladies qui se propagent par des très
fines
particules, les plus petits regroupements de taille des particules
aérosols qui
sont suspendues dans l’air. Et donc, il y a des particules qui sont
porteurs de
virus suspendus à long terme dans l’air. Les plus petites de ces
particules-là,
c’est ça le mode de transmission. C’est pas les plus grosses particules
qu’on
éjecte en parlant ou en éternué. Ce n’est pas du tout ces particules-là
qui
sont importantes par rapport aux vecteurs de transmission, mais c’est
plutôt
les fines particules aérosols…
Jérémie
Mercier: Qui ne sont pas
arrêtées par les masques,
donc!
Denis
Rancourt: Qui ne sont pas
arrêtés par les masques et qui ne
peuvent pas être arrêtées par les masques, d’après ce qu’on connaît de
la
physique et de la nature des fluides porteurs de telles particules.
Parce que
les masques ont un diamètre de pore qui peut être petit par rapport
dans les
masques les plus performants: 0,3 micromètres, mais il y a quand même
des
particules aérosols qui peuvent être plus petites que ça. Première
chose. Et
deuxièmement, ce pore n’est pas la question importante parce que ce
n’est pas –
en anglais on dit le "bottleneck" – il y a toujours des ouvertures
qui sont plus grandes entre le poumon et l’extérieur, même quand on
porte un
masque, qu’on essaye de bien le porter. Il y a toujours des rides sur
la peau
qui créent des ouvertures. Il y a toujours des imperfections de la peau
qui créent
des ouvertures. Il y a toujours un positionnement du masque qui n’est
pas
parfait. On bouge le masque parce qu’il n’est pas confortable. Même les
travailleurs de la santé qui sont entraînés pour bien porter les
masques, etc.,
c’est connu, ils vont souvent bouger le masque et l’ajuster, etc. Les
masques
vieillissent, peuvent être étirés, peuvent être usés, peuvent être
pliés par
accident. Donc, il y a des failles. Il y a des pores qui sont plus
grands que
d’autres. Il y a nécessairement des ouvertures qui sont beaucoup plus
grandes
que le diamètre qui est donné par le manufacturier pour les pores dans
le
matériau du masque.
Jérémie
Mercier: Cela veut dire
que théoriquement, les masques
pourraient avoir une utilité. Mais en pratique, ce n’est pas possible
qu’ils
soient utiles parce qu’il y aura toujours un défaut, que ce soit au
niveau de
la pose, au niveau du matériau lui-même, qui fera que de toutes façons,
les
particules virales passeront.
Denis
Rancourt: Oui, elles vont
toujours passer. Maintenant elles
pourraient avoir un effet, même si la majorité des particules qui sont
porteurs
et qui pourraient nous infecter étaient plus grosses que, disons, le
diamètre
des pores qu’est-ce qui arrive? Une particule se colle sur le masque.
Est-ce
qu’ensuite, en respirant, elle s’évapore et les particules de virus
sont
libérées et on finit par les respirer? On ne le sait pas. Il n’y a pas
eu
d’étude qui réponde à cette question-là. Donc, on ne connaît pas en
détail le
mécanisme, le pourquoi les masques ne marchent pas? Mais à chaque fois
qu’on a
fait des mesures, quand on vérifie l’infection, ça ne marche pas. Il
n’y a
aucun avantage. Toutes les études sur les masques qui font simplement
démontrer
qu’un masque peut arrêter des gouttelettes ou arrêter des grosses
particules ne
sont pas pertinentes parce que ces grosses particules-là chutent très
rapidement, ne sont pas des vraies particules aérosols qui font partie
du
fluide de l’air, qui est le vrai mode de transmission de cette maladie.
C’est
pour ça que la maladie est hyper contagieuse et c’est pour ça aussi que
la
maladie va profondément dans les poumons parce que c’est respirer comme
on
respirerait de l’air et ça se loge profondément dans les poumons. C’est
la
nature de tous ces types de maladies-là. Alors, étant donné ce mode de
transmission qui est maintenant compris et connu, on peut imaginer
pourquoi les
masques ne peuvent pas fonctionner. Il faut dire aussi qu’il y a
beaucoup
d’études scientifiques qui sont faites et qu’on utilise à tort et à
travers,
qui ne sont pas vraiment des études pertinentes. Par exemple, si je
fais une
étude qui démontre que quand j’éternue, les gouttelettes ne se
propagent pas
plus que… vont tomber rapidement dans un mètre ou deux, ça n’a pas de
pertinence par rapport à cette maladie-là parce que ce n’est pas ça le
mode de
transmission. Le vecteur de transmission, c’est réellement les
particules
aérosols en suspension dans l’air qui font partie du fluide. Toutes les
gouttelettes qui vont tomber rapidement, qui sont plus grosses, qui
sont
extraites par la gravité, ça n’a aucune pertinence dans ce débat.
Jérémie
Mercier: Même du coup, à
un moment, on parlait de
peut-être de transmission de la maladie par des surfaces infectées.
Même ça,
finalement, ça n’a pas de valeur?
Denis
Rancourt: Là encore, on
peut faire des mesures scientifiques où on
démontre qu’un virus peut survivre sur une surface donnée, qu’elle soit
en
plastique ou en métal. On peut étudier différentes surfaces, mais ça
n’a pas de
pertinence parce que ce n’est pas le vecteur de transmission, même si
on touche
ce virus-là, même si, en principe, en théorie, on pourrait ensuite se
mettre
les doigts dans la bouche, etc. Ce n’est pas un mode efficace de
transmission
de la maladie, loin de là. Et ces maladies sont maintenant bien
comprises et
elles ont toujours un cycle saisonnier. Elles sont très contagieuses
pendant
l’hiver, quand l’air est sec, quand l’humidité absolue de l’air est
basse et
pas du tout contagieuses quand l’air est humide, parce que les
particules
aérosols condensent les molécules d’eau et chutent rapidement,
deviennent plus
lourdes et ne sont plus en suspension dans l’air. Donc, le cycle de
contagion
est très bien connu et on connaît le mécanisme. Mais je peux vous
montrer des
graphiques qui illustrent ça. Par exemple, je ne sais pas moi, ça fait
des
décennies qu’on étudie ça. Si on regarde la mortalité totale à travers
les
années, par exemple je vais vous montrer un graphique de 72 à 93 où on
voit, à
travers toutes les pandémies et tout, comment la mortalité "toutes
causes" varie en fonction du temps. Ça, c’est la mortalité par mois ou
par
semaine. Comme ça, il y a des hauts et des bas, alors il y a des
maximums de
mortalité pendant l’hiver quand l’air est sec dans les pays en
latitudes
intermédiaires et des bas, l’été quand l’air est humide. Ça a toujours
été
comme ça. Et les maladies de ce type-là causent les maximums, même il y
a plus
d’arrêts cardiaques pendant l’hiver, et ça serait dû à l’interaction
entre ces
virus qui causent un stress respiratoire et la maladie cardiaque. Il y
a des
études qui démontrent ça. Donc, en gros, on comprend maintenant ces
cycles et
on comprend que les cycles viennent du mode de transmission. Et tout le
reste,
c’est du flafla, que ce soit des articles scientifiques ou pas. Si on
est
sérieux et si on regarde vraiment et on essaie de comprendre les
concepts et on
regarde la science et le niveau de compréhension qu’on a des modes de
transmission et du type de maladies que c’est, ça se transmet par des
particules aérosols et les masques ne peuvent rien contre ça. Parce que
quand
on expire, le flux de l’air va être à travers ces petites ouvertures
qui sont
partout autour du masque, etc. Et ça va sortir aussi facilement que
c’est
rentré et donc ça ne protège ni la personne avec qui on est – si on
porte un
masque – ni nous-mêmes. Ça ne réduit pas le risque d’être infecté s’il
y a de
telles particules dans l’espace où on est.
Jérémie
Mercier: Alors ça veut
dire du coup que quand parfois
on peut avoir l’impression que le port quasi généralisé du masque a été
fait
dans certains pays, notamment dans des pays asiatiques type Japon,
Corée du
Sud, Taïwan ou Singapour, ce n’est pas le masque qui a permis de
stopper la
propagation de l’épidémie. C’est ça.?
Denis
Rancourt: C’est toujours
compliqué quand on veut dire des choses
comme ça parce que ça prend des études. Ça prend de faire une étude sur
le
terrain scientifique sérieuse. Ça prend de vérifier les infections avec
des
mesures de laboratoire. Ça prend de mesurer des densités de pathogènes
dans
l’air. Est-ce que se promener dehors, de toutes façons, c’est une
situation où
on est à risque quand il y a des courants d’air, quand il y a du vent?
Je
dirais que non. Le gros du risque, c’est à l’intérieur où l’air est
stagnant et
où les particules sont en suspension dans l’air. Ça devient des études
compliquées. Il y a aussi le fait que ces variations saisonnières que
j’ai
montrées, il n’y en a pas de telles variations quand on est près de
l’équateur,
quand c’est toujours à peu près humide, assez pour condenser de telles
particules pour pas qu’elles restent en suspension. Il y a tellement de
facteurs. Il y a aussi l’idée que "est-ce qu’on sait vraiment combien
de
personnes ont été infectées"? Je veux dire à l’échelle de la Chine,
est-ce
qu’on sait combien de personnes ont eu essentiellement une infection
virale
respiratoire comme ça, ils ont guéri chez eux? Ça fait longtemps qu’on
coexiste
et qu’on co-évolue avec des virus qui causent ces malades-là. Ça fait
très
longtemps. Les animaux, ça fait des milliers d’années, alors on n’en
est pas
mort. Et dans l’histoire, quand il y a eu des maladies de ce type-là
qui
étaient particulièrement virulentes, je dirais qu’au Moyen-Âge, par
exemple,
etc. que c’était aussi des situations où une grande partie de la
population
avait un système immunitaire qui était sous stress pour des raisons
d’alimentation, pour des raisons de stress de société, pour des raisons
de
substances nutritives. Pour toutes sortes de raisons, le système
immunitaire,
le niveau de santé était beaucoup plus bas et la mortalité était à
beaucoup
plus jeune âge, etc. en moyenne. Donc, il y a pu avoir… Parce que ce
qui est
important, c’est l’infection entre dans nos poumons. Après ça, il y a
toute une
bataille entre le système immunitaire et le virus. Le virus va infecter
une ou
plusieurs premières cellules. Le système immunitaire va essayer de
reconnaître
des morceaux de protéines de ce virus-là à la surface de cette
molécule-là.
S’il le repère et le reconnaît comme étant étranger et va tuer cette
cellule là
avant qu’elle ait la chance de produire, de reproduire le virus et donc
il y a
comme cette bataille dynamique à l’intérieur de nous qui se passe. Et
ça, c’est
courant et c’est tout le temps. Maintenant, le système immunitaire pour
qu’il
soit assez rapide, pour qu’il soit rapide, ça demande beaucoup
d’énergie
métabolique. Si déjà on dépense beaucoup d’énergie métabolique juste à
combattre les autres infections, à combattre le stress, etc., on est
mal
alimenté, on risque de mourir de ce nouveau pathogène. Le risque de
mourir est
beaucoup plus grand. Donc, l’état immunitaire de la personne, de
l’individu est
beaucoup plus important à savoir si cet individu va survivre ou pas,
que la
nature précise du virus en question de ce type-là.
Jérémie
Mercier: Ok. Alors du
coup, il y a une autre question
qui vient, c’est "puisque les masques n’ont pas d’utilité, est-ce qu’il
–
y a des gestes parce qu’on a beaucoup parlé de gestes barrière, en
France
notamment – est-ce qu’il y a des gestes qui ont une utilité? Notamment
on a
parlé de se tenir à au moins un mètre des autres, se laver fréquemment
les
mains, utiliser du gel hydroalcoolique. Est-ce que ça, ça a une utilité
dans le
cadre du Covid, qui est une maladie virale respiratoire?
Denis
Rancourt: Non, absolument
pas. Je veux dire, il y a des études qui
ont démontré que des grosses particules vont chuter en dedans d’un
mètre ou
deux. Ça n’a aucun rapport. Le vecteur de transmission, c’est des
particules
aérosols suspendues dans l’air qui remplissent le volume de nos
établissements,
des endroits où il y a eu des personnes infectées. En rentrant
là-dedans et en
respirant cet air-là, on est infecté, qu’on ait un masque ou pas, et ça
n’a
rien à voir avec quelques mètres de distance. L’Espace, le volume même
du
building se remplit. Il y a des études détaillées qui l’ont démontré.
Ils ont
pris des échantillons d’air à différentes hauteurs dans des buildings
un peu
partout, et ils ont analysé la densité de pathogènes qu’il y avait avec
des
méthodes génétiques. Et ils ont pu démontrer à quel point l’air est
simplement
plein de ces particules aérosols suspendues. Que ce soit dans des
hôpitaux,
dans des centres pour la jeune enfance, partout dans la saison de ces
maladies-là, il y a des gens qui se promènent et il y a des volumes
comme ça
qui sont essentiellement clos et c’est plein. Et c’est comme ça qu’on
attrape
ça. On attrape ça en visitant quelqu’un, chez eux, dans une maison qui
est
chauffée l’hiver. Et il n’y a pas de grands courants d’air froid là qui
passent
et où on enlève toutes les particules en suspension. Il n’y a pas moyen
de
filtrer ces particules-là, c’est trop fin. Et c’est comme ça que c’est
dans les
immeubles, dans les institutions et dans les maisons où on visite les
gens,
c’est là qu’on attrape ces maladies. Ça n’a rien à voir avec les "deux
mètres". On peut s’asseoir, on peut manger sur une grande table et être
à
deux mètres l’un de l’autre et avoir des conversations. Si quelqu’un
avait le
rhume il y a quelques jours et n’ont plus de symptôme, il y a encore
des
particules en suspension en principe. Il y a des courants d’air, ça
brasse. On
risque d’attraper cette maladie de cette façon-là. Ça n’a pas à faire
le
"deux mètres".
Jérémie
Mercier: Donc, on aura
beau se laver les mains
cinquante fois avec du gel hydroalcoolique et porter un masque, ça ne
changera
rien.
Denis
Rancourt: Le vecteur de
transmission n’est pas de contact à
contact. Alors laver les mains, ça ne donne rien. Laver les mains,
c’est bon
pour des pathogènes du type où c’est important, comme pathogènes qui
sont
reliés aux excréments, des pathogènes qui sont reliés à des substances
muqueuses, à des eaux qui sont pleines de bactéries très nocives, etc.
parce
qu’on a mis des substances nutritives qui font que ces pathogènes-là
vont
croître bien dans cette eau-là, ben il ne faut pas se baigner, il ne
faut pas
boire l’eau. Tout ça, c’est des questions de contact. Les maladies qui
sont
transmises sexuellement aussi, c’est contact. Mais les maladies virales
respiratoires, c’est complètement différent. Le vecteur de transmission
est
différent. Ça ne donne à peu près rien de se laver les mains. On le
fait parce
que c’est dans les procédures. Les médecins le font parce que c’est
dans les
procédures. Mais ils ont aussi plein d’autres pathogènes qu’il faut
qu’ils
s’inquiètent eux. Mais non, c’est inutile. On est dans un monde-là, où
on n’est
pas en train d’utiliser les connaissances scientifiques. On fait juste
n’importe quoi pour se donner une bonne impression de supporter la
santé publique.
Jérémie
Mercier: Alors j’imagine
aussi que ça permet d’avoir
une illusion de sécurité, alors que si on voulait aller au bout de
cette idée
de se protéger du virus, finalement, faudrait être habillé quasiment
comme en
combinaison de cosmonaute dans les laboratoires P4 avec un scaphandre
en
surpression et puis une arrivée en oxygène qui est séparée de l’espace,
c’est
ça?
Denis
Rancourt: Oui, mais ces
systèmes-là sont utiles uniquement dans
des conditions où il y a des laboratoires de recherche qui font des
pathogènes
particuliers, qui les modifient génétiquement. Ils ne veulent pas que
ça sorte
dans l’environnement ou ils ne veulent pas contaminer leurs
échantillons
scientifiques avec les pathogènes qu’on aurait dans notre corps. Donc
il y a
une isolation qui se fait complètement au niveau de l’environnement de
la
personne versus du laboratoire. Donc, dans des applications comme ça,
de
recherche pointues ou militaires, ça a un certain sens, une certaine
logique de
faire ça. Mais dans le vrai monde, avec des vraies personnes qui, à
chaque
saison, le système immunitaire, est présenté à toute une panoplie de
virus de
ce type-là, ce n’est pas normal de penser dans ces termes-là. On ne
veut pas
aseptiser, on veut plutôt vivre avec les virus comme on a toujours
fait. On
veut que notre système immunitaire apprenne parce qu’il apprend et
qu’il soit
entraîné. Et on veut avoir une bonne santé de sorte à ce que notre
système
immunitaire puisse réagir quand c’est le temps de réagir.
Jérémie
Mercier: Pour le coup, cet
aspect du système
immunitaire, à ma connaissance est absent du débat "scientifique
officiel" aujourd’hui, on n’en parle pas!
Denis
Rancourt: Non. On est dans
une espèce de monde de fous où on pense
qu’on peut créer un environnement stérile, dans un environnement réel
qui est
plein de pathogènes. Les biologistes disent "il y a de tout partout".
Moi, j’ai l’habitude de l’entendre en anglais "There is everything
everywhere". Et ça, c’est vrai. Et c’est quasiment impossible de vivre
dans un environnement stérile et même dans un milieu hospitalier où on
met des
personnes à risque, en les ouvrant pour faire des opérations, etc.,
c’est
essentiellement impossible d’empêcher qu’il y ait des infections. Il
faut
essayer d’accompagner la personne, les mettre dans des conditions où
ils vont
guérir, utiliser des méthodes d’intervention quand il y a infection.
Mais
vraiment prévenir par la stérilisation, c’est quasiment impossible.
Jérémie
Mercier: D’accord. Alors,
compte tenu de toutes ces
informations que vous nous partagez, à savoir que les gestes barrières
sont
inutiles dans le cadre d’infections virales respiratoires, que le
masque est
aussi inutile, mais pourtant aujourd’hui on a des agences de santé, on
a des
académies de médecine, des gouvernements qui le recommandent, voire
même on
oblige les gens à porter un masque dans les transports en commun, dans
certaines boutiques, etc., comment on peut résister à ça, et est-ce
qu’il y a
une possibilité finalement de désobéir à ces règles qui sont absurdes,
qui ne
sont pas basées sur la science? Est-ce que, par exemple, avoir un
article
scientifique qui reprend ces points-là, ça permettrait de répondre à un
contrôleur qui voudrait, par exemple, vous faire sortir du bus parce
qu’on n’a
pas le masque qui est obligatoire? Qu’est-ce qu’on peut faire?
Denis
Rancourt: Si le contrôleur
a des connaissances scientifiques et
est sensible aux arguments scientifiques, ça pourrait marcher, mais je
pense
que ça va être plutôt rare de rencontrer un tel contrôleur… De toutes
façons,
ce n’est pas des politiques, des règles et des lois qui sont basées sur
la
science. Alors je vois mal comment la science pourrait être utilisée
pour les
contrer. Parce que c’est inventé de toutes pièces, c’est fait pour des
raisons
politiques et de contrôle, alors c’est difficile… Il n’y a pas d’arme
magique
qui est scientifique qu’on peut vraiment utiliser, mais la science nous
aide
parce que ça nous motive personnellement. Les personnes qui veulent
comprendre,
qui veulent apprendre, qui veulent se raisonner, qui veulent justifier
pourquoi
ils résistent et pourquoi ils ont une résistance, la science va les
aider, ces
personnes-là. Mais devant les juges, les polices et les politiciens, il
y a à
peu près rien. Il y a à peu près pas d’arguments scientifiques qui
peuvent
fonctionner parce qu’ils sont insensibles à ces arguments.
Jérémie
Mercier: Et est-ce qu’il y
a un danger – parce qu’on a
parlé du fait que le masque était inutile dans le cas de l’épidémie de
Covid –
est-ce que porter un masque trop longtemps, ça peut aussi avoir un
danger sur
la santé, par exemple?
Denis
Rancourt: Une des choses
qui est prouvée par des études
comparatives, c’est que les travailleurs dans les milieux hospitaliers,
dans
les milieux de la santé, qui portent le masque versus qui ne portent
pas, ont
beaucoup plus souvent des maux de tête. Ça, c’est statistiquement
valable, ça a
été démontré. C’est un des effets négatifs absolument prouvés, et puis
il n’y a
aucun effet positif dans le sens de réduire le risque. Alors, c’est ce
qui est
connu. Pour le reste, ça devient: qu’est-ce qu’on pense des mécanismes,
qu’est-ce qu’on pense qui est possible? On peut imaginer plein de
dangers
relatifs au masque. C’est sûr qu’une personne fragile en hôpital, on ne
veut
pas lui mettre un masque, on veut l’aider à respirer le plus possible.
C’est
sûr que quelqu’un qui doit respirer très fort parce qu’ils font un
exercice
rigoureux, c’est peut-être mieux de pas mettre un masque. Si on a
l’habitude de
vraiment faire un effort vigoureux et qu’on fait ce même effort-là
pendant
longtemps, mais cette fois-ci on met un masque parce qu’on nous a dit
de mettre
un masque, ça peut nous mettre en danger. Il y a des rapports de
personnes qui
se sentent évanouies, etc., qui ont eu des accidents d’automobile parce
que parce
qu’ils ne respiraient pas assez bien dans leur voiture en portant un
masque,
etc. Mais c’est des anecdotes. Ce n’est pas des études systématiques,
rigoureuses, mais c’est des anecdotes. Il y a aussi le fait que le
masque va
accumuler tout ce qu’il y a dans l’air et donc, après ça on va le
manipuler,
peut-être qu’on va le remettre, je ne sais pas, mais on peut inventer
toutes
sortes de scénarios, mais ce n’est pas des choses qui sont connues. Il
n’y a
pas eu d’études comparatives sérieuses là.
Jérémie
Mercier: Et qu’est-ce que
ça raconte de notre société
cette masse de personnes qui aujourd’hui sort avec un masque alors
qu’il n’y a
aucune raison valable de sortir avec un masque d’un point de vue
sanitaire?
Denis
Rancourt: Mais c’est des
personnes qui croient en l’autorité, de
ce qu’on leur dit et qui veulent bien faire et qui veulent faire comme
les
autres aussi. Ils sont en société, puis ils n’osent pas être la
personne qui
contredit cette bonne façon de faire. Mais il y a un danger quand
l’État impose
une règle qui n’est pas basée sur la science et qui n’a pas vraiment
une raison
d’être. Et qu’on accepte cette règle-là pour des raisons d’autorité et
pour des
raisons autres que des bonnes raisons et des règles qui changent
carrément
notre comportement. Le danger, c’est qu’on s’habitue à accepter des
règles via
le processus de l’autorité et donc ça nous rapproche petit à petit d’un
État
totalitaire, dans cette marche lente vers l’État totalitaire. Ça nous
entraîne
là-dedans. Et ça, c’est un effet réel que je crois. Il y a eu des
études
scientifiques qui ont parlé de ça et je crois que c’est un vrai
phénomène. La
société a beaucoup tendance, en se développant – c’est une hiérarchie
de
dominance – et on a tendance à "drifter" on dit en anglais vers un
État totalitaire. Et il faut se battre pour ramener les choses un peu
de temps
en temps. Donc, je pense que d’accepter des règles comme ça, sans
raison, ça va
dans ce sens-là. Et ça, c’est un vrai danger de société, je crois.
Jérémie
Mercier: Et, dernière
question – donc votre article sur
les masques a un fort retentissement sur Internet, il a été lu des
centaines de
milliers de fois – est-ce que ça vous donne envie de le soumettre à un
journal
en "peer review" donc en revue par ses pairs afin de lui donner
peut-être une autorité supplémentaire?
Denis
Rancourt: Ça pourrait
peut-être lui donner une autorité
supplémentaire, mais il a déjà eu toute l’impact qu’il va avoir. Tous
les
chercheurs dans le domaine l’ont lu et ne vont pas le citer parce qu’il
n’est pas
justement dans un journal, mais au moins, ils l’ont lu, ils l’ont
considéré,
ils ont même fait des commentaires, ils m’ont envoyé des messages.
L’information est passée, le message est là et même les chercheurs dans
le
domaine savent que je suis quelqu’un de sérieux qui va être très
critique de ce
qu’ils vont faire à partir de ce point ici et des études qui vont
sortir. Et
ils savent maintenant les critères que j’utilise pour critiquer leur
travail
parce que j’ai critiqué des articles dans mon article de revue et donc
ça a
déjà eu son impact. Et le processus de revue des journaux est un
processus
frustrant où on doit aseptiser nos propos et on ne peut pas être trop
direct,
même quand on a une conclusion scientifique qui est ferme. On ne peut
pas
utiliser un langage direct, etc. Je connais bien ça parce que j’ai
soumis plus
d’une centaine d’articles à des journaux de ce type-là et qui ont été
bien
cités, etc. Un de mes domaines de recherche d’ailleurs, c’est les
nanoparticules dans l’environnement, donc les aérosols, tout ça, c’est
quelque
chose que je connais bien. Mais c’est frustrant le processus de revue,
parce
que les compétiteurs qui eux, ont écrit des articles à propos des
masques vont
lire mon article et eux, dans leur introduction, ont fait des petits
commentaires pour vendre leur salade du genre:" les masques pourraient
aider, c’est possible que les masques aident ". Et ils vont être très
frustrés d’un article très définitif qui dit "écoutez, il n’y a pas eu
une
seule étude qui montre un bénéfice qui est statistiquement valable".
Alors
ça frustre les gens et donc les reviewers font des commentaires
négatifs. Après
ça, on s’embarque dans des discussions avec l’éditeur. J’ai pas envie
de perdre
mon temps à faire ce genre de choses. Les gens peuvent évaluer mes
arguments,
les rejeter s’ils veulent, les ignorer s’ils veulent, ça m’est égal.
Jérémie
Mercier: Donc, vous avez
eu beaucoup de retours
d’ingénieurs, de chercheurs, de scientifiques dans ce domaine-là.
Est-ce qu’il
y a des personnes qui vous ont amené des arguments qui auraient pu
faire
changer un peu votre opinion telle qu’elle est exprimée dans l’article?
Denis
Rancourt: Non, j’ai eu
plein de commentaires et plein de
critiques, mais il n’y a rien qui défaisait les aspects rigoureux de ce
que j’avais
conclu. Par exemple, il y en a plein qui ont dit "Mais non, mais il y a
plein d’études qui montrent que les masques arrêtent les gouttelettes
de toutes
sortes". Ça n’a aucun rapport parce qu’on ne parle pas des gouttelettes
là, c’est un mécanisme – comme je l’ai dit – de fines particules
aérosols.
C’est le fluide de l’air qui est important, la fluidité de l’air et
donc ça n’a
aucun rapport. Ce n’est pas parce qu’on peut démontrer qu’un tissu ou
un masque
arrête des gouttelettes que c’est pertinent.
Jérémie
Mercier: Et pourtant,
c’est l’argument utilisé tout le
temps en fait!
Denis
Rancourt: Oui, parce que
c’est visuel… mais l’argument suppose que
le vecteur de propagation est à travers ces gouttelettes-là. Si on
enlève, si
on tire ce tapis de sous les pieds des gens, il n’y a plus d’argument.
Et ce
n’est vraiment pas le vecteur de propagation. Oui, en laboratoire, on
peut
causer une infection en allant chercher un fluide d’une personne
infectée, en
l’injectant dans le nez ou dans les poumons d’une personne, on peut
réussir à
infecter. Mais de façon naturelle, dans la contagion de cette
maladie-là, ce
n’est pas comme ça que ça se passe et donc ce n’est pas pertinent. Le
fait que
c’est possible n’est pas pertinent. La vraie question, c’est "dans une
épidémie,
qu’est-ce qui se passe et quel est le vecteur de propagation?"
Jérémie
Mercier: Juste pour finir
maintenant, qu’est-ce que
vous conseilleriez donc à toutes ces personnes qui ont été paniquées
pendant
plusieurs mois avec le confinement, qui ont vu chaque jour le chiffre
des morts
augmenter, qui ont entendu toutes ces recommandations de faire ces
gestes
barrières, d’éviter les autres, de s’isoler, de se laver les mains avec
du gel
hydroalcoolique, de mettre un masque, etc. Qu’est-ce qu’on peut dire à
ces
personnes?
Denis
Rancourt: Qu’est-ce qu’on
peut dire à quelqu’un qui a été paniqué
par des choses qu’ils ont entendu à la télé ou à l’internet? Qu’est-ce
qu’on
peut dire à quelqu’un qui ressent une panique ou une peur, simplement
parce que
le gouvernement énonce des choses et dit que les autorités de santé ont
dit
telle ou telle chose et ne se base pas sur son bon sens, sur son
expérience
personnelle, sur son vécu où il a vécu plusieurs saisons, où il a eu ce
type de
maladie. Et il ne se pose pas la question "mais si on dit que c’est une
maladie grave, combien de personnes de plus que normal sont mortes?
Est-ce que
je peux avoir ce chiffre? Dites-moi pas combien de personnes vous avez
analysées pour détecter cette chose-là avec un test que je ne comprends
pas.
Dites-moi si vraiment il y a plus de monde qui meurt". Et quand on pose
cette question-là, la réponse est très claire et je pourrais vous
montrer un
autre graphique, par exemple. Ça, c’est "mortalité toutes causes" en
fonction du temps en Europe, pour toute l’Europe. Et on voit ici le pic
récent,
c’est le pic Covid, mais il est beaucoup plus fin que les autres.
L’aire sous
les pics en fonction du temps, et on peut aller beaucoup plus loin et
toujours
à peu près la même. Il n’y a pas plus de monde qui meurt. Et ce pic
très fin,
on peut le comprendre. Il a eu lieu à New York, dans la ville de New
York, et
il a eu lieu en Angleterre. Il y a plein d’États, des grands États où
il n’y a
pas un tel pic. Il n’y a rien qui se passe. Par exemple, je peux vous
montrer
la Californie, qui a une population plus grande que le Canada. Et puis,
il n’y
a aucun pic ici qui serait dû à la Covid. Et les lignes rouges que je
mets,
c’est là où on a annoncé que c’était une pandémie. À partir de là, tout
le
monde voyait le Covid partout. Le pic en question, il est dû – on
comprend
maintenant – il est dû au fait que beaucoup de juridictions ont envoyé
leurs
malades qui étaient en hôpital, dans des centres pour personnes âgées,
dans des
centres de santé autres que les hôpitaux pour libérer les hôpitaux en
préparation pour une épidémie qu’il n’y a jamais eu, ou qu’il n’y a à
peu près
jamais eue. Donc, ils ont, de façon accélérée, infecté des institutions
entières, pleines de personnes très vulnérables. Et donc il y a eu une
montée
très rapide de mortalité et donc c’est très spectaculaire à New York,
etc. Et
c’est dû à ces méthodes de fonctionner. En plus, aux États-Unis ont
traitait
les plus malades avec des ventilateurs mécaniques. Il y a une étude
scientifique rigoureuse qui a démontré que ces ventilateurs tuaient les
personnes sur lesquelles on leur imposait ça. Il y a eu des décès
accélérés dus
aux politiques de réaction à une soi-disant pandémie, mais il n’y a pas
eu au
total plus de morts qu’il a typiquement à toutes les saisons dues à ce
type de
maladie.
Jérémie
Mercier: Donc,
artificiellement, quelque part du fait
de politiques inadaptées, on a créé un pic de mortalité sur une période
assez
courte…
Denis
Rancourt: À certains
endroits où on a appliqué ces politiques
absolument néfastes, absolument horribles. Par exemple, j’ai le
graphique ici
pour l’Angleterre et Wales (Pays de Galles), où on voit d’une saison à
l’autre
– l’aire sous le pic, c’est la mortalité totale pour la saison en
question – et
récemment, il y a eu ce grand pic. Il n’y a pas plus de morts. L’aire
totale
est à peu près la même, ok? Et s’il y a eu plus de morts, c’est parce
qu’on les
a stressés et que les personnes qui ne seraient peut-être pas mortes
sont
mortes à cause de leur niveau de stress. Le dommage qu’on a fait à leur
système
immunitaire en chambardant leur vie, etc. Mais c’est un petit effet. En
gros,
il n’y a pas eu plus de morts. Ce n’est pas une pandémie qui a créé
plus de
mortalité intégrée qu’il y a toujours avec chaque saison.
Jérémie
Mercier: Donc,
statistiquement, en prenant un peu de
recul, il n’y a pas de surmortalité par rapport à d’habitude.
Denis
Rancourt: C’est ça, je
veux dire, ce n’est même pas statistique.
C’est des vrais chiffres solides, on peut sur chaque saison intégrer
sur une
année. On peut regarder les excédents des morts "toutes causes" et on
voit que ça tombe dans la norme. Il y a eu localement des endroits où
il y
avait plus de morts, où on les tuait, dans des localités où on avait
des
politiques aberrantes là. Mais en gros, il n’y avait pas des gens morts
dans
les rues. Il n’y avait pas des morgues qui étaient trop pleines, il n’y
avait
rien de ça.
Jérémie
Mercier: Ok, donc, du
coup, c’est comme ça qu’on peut
rassurer ces personnes, c’est que malgré tout le tapage médiatique,
finalement,
il n’y a pas de surmortalité inhabituelle.
Denis
Rancourt: Ben moi, je ne
sais pas si on peut rassurer ces
personnes-là. J’espère qu’elles vont aller au bout de leurs peurs, que
ça va
tellement les stresser et que finalement, ils vont être obligés
d’abandonner et
réaliser qu’elles ne sont pas mortes. Et puis qu’il faut continuer,
puis qu’il
y a quelque chose de psychologique qui se passe là. Mais ce n’est
tellement pas
rationnel, cette peur. Et c’est tellement basé juste sur ce qu’on a
entendu. Ça
me fait penser un peu à des babouins dans la jungle qui se promènent en
troupe.
Et il y en a un qui voit une espèce de truc qui remue là et qui pense
que c’est
peut-être un lion tueur de babouins et qui se met à crier et qui court
vers les
arbres et que tout le monde se met à crier et court vers les arbres.
Ils
montent dans les arbres, ils dépensent beaucoup d’énergie et restent
dans les
arbres longtemps… jusqu’à temps que, ils ont observé assez longtemps,
ils n’ont
pas vu de lion, ils n’ont pas vu de danger. Puis là, lentement, ils
vont
redescendre… jusqu’à la prochaine fois où quelqu’un va s’énerver, va
recrier,
et puis, il va se passer un peu la même chose. Je veux dire, on est des
animaux
sociaux dans une hiérarchie de dominance. On se comporte comme ça.
C’est
difficile de raisonner les gens quand ils sont en train de réagir à un
cri et
puis qu’ils veulent juste courir dans l’arbre.
Jérémie
Mercier: Ok, je trouve que
cette image est très
parlante. En tout cas, merci pour ce partage. Bon, en tout cas, je
pense qu’on
a fait le tour. Je pense que si vous êtes arrivé jusqu’au bout de cette
vidéo,
vous avez compris: que les masques ne servent à rien dans le cadre de
l’épidémie de Covid, les gestes barrières ne servent à rien, au
contraire même,
c’est une voie royale pour une mise en place d’un État qui est de plus
en plus
autoritaire et qu'on s’est comporté comme des babouins, c’est ça? Ok.
Bon, en
tout cas, merci beaucoup Denis Rancourt pour ces explications très
claires,
très pertinentes même, j’ai envie de dire inhabituellement de bon sens.
Parce
que le bon sens, on en a vu tellement peu pendant cette histoire du
Covid que
ça fait vraiment du bien d’entendre ça et de voir cette rigueur
intellectuelle
que vous avez et que vous avez transmise via cet article. Donc, il est
en
anglais, je vais mettre le lien sur la vidéo. Je ne sais pas si… je
crois qu’il
y a une version française peut-être aussi, non?
Denis
Rancourt: Non, j’ai écrit
un article en anglais qui critique la
politique canadienne. Et cet article-là a été traduit en français.
Jérémie
Mercier: Ok, je mettrai
les liens en tout cas sous la
vidéo, et je vous invite à commenter la vidéo et à la partager parce
qu’il est
temps qu’on reprenne un peu nos esprits, qu’on revienne à quelque chose
de plus
rationnel et que l’on arrête de croire des choses qui ne sont basées
pas du
tout sur la science, mais sur des croyances, du "on pense que c’est
comme
ça parce que ça parait logique" alors qu’en fait, ça n’est pas du tout
logique, ni vérifié, ni quoi que ce soit. Merci beaucoup Denis Rancourt.
Denis
Rancourt: Ça m’a fait
plaisir. Ça m’a fait plaisir d’être avec
vous.
Jérémie
Mercier: À bientôt, au
revoir!
Denis
Rancourt: Pareillement.
[Fin de
l’Interview]
Chers
amis, il y
a plusieurs autres articles très
intéressants mettant à nu le projet satanique appelé Covid-19, et le
but
recherché par la race de vipères qui dirigent ce monde. Vous trouverez
ces articles
sur le site www.mcreveil.org, dans la Rubrique Santé et la Rubrique
Illuminati.
Faites l'effort de lire ces articles, et de les partager au maximum,
afin
d'alerter le plus grand nombre de personnes pendant qu'il est encore
temps.
Que
la grâce soit
avec tous ceux qui aiment notre
Seigneur
Jésus-Christ d'un amour inaltérable!
Chers frères et sœurs,
Si vous avez fui les fausses églises et voulez savoir ce que vous devez faire, voici les deux solutions qui s'offrent à vous:
1- Voyez si autour de vous il y a quelques autres enfants de Dieu qui craignent Dieu et désirent vivre selon la Saine Doctrine. Si vous en trouvez, sentez-vous libres de vous joindre à eux.
2- Si vous n'en trouvez pas et désirez nous rejoindre, nos portes vous sont ouvertes. La seule chose que nous vous demanderons de faire, c'est de lire d'abord tous les Enseignements que le Seigneur nous a donnés, et qui se trouvent sur notre site www.mcreveil.org, pour vous rassurer qu'ils sont conformes à la Bible. Si vous les trouvez conformes à la Bible, et êtes prêts à vous soumettre à Jésus-Christ, et à vivre selon les exigences de Sa parole, nous vous accueillerons avec joie.
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec vous!
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